« L’amour est dans le pré » : Christine à bout et face à de « gros soucis de santé », la photo de ses pieds qui inquiète

Grande amoureuse des chats et des chiens, Christine est entrée dans le coeur des téléspectateurs et de
Karine Le Marchand

au cours de la 18e saison de L’amour est dans le pré

. Malheureusement pour elle, Alain n’a pas réussi à tirer une flèche dans son coeur. Le fait d’être porteuse du gène HLA B27 a peut-être effrayé l’homme de 73 ans.

En effet, au cours de son portrait diffusé dans l’émission de M6, l’agricultrice a révélé être porteuse de ce gène responsable de la spondylarthrite ankylosante. Il s’agit d’une maladie inflammatoire chronique qui touche les articulations des vertèbres et l’articulation entre la colonne vertébrale et le bassin.

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L’enfer vécu par Christine depuis plusieurs années

Christine a vécu des moments très compliqués à cause de ce gène. Qui l’a conduit à une paralysie pendant presque un an dont elle peine à se remettre. Même si aujourd’hui, grâce à un suivi médical, une prise de médicaments et de la rééducation, elle parvient à retrouver un confort de vie. Mais alors qu’elle pensait « revivre », voilà qu’elle doit de nouveau faire face à un problème de santé. 

En effet, ce mercredi 21 février 2024, elle a posté
un cliché sur son compte Instagram

qui a vivement fait réagir sa communauté. Par le biais de cette publication, elle a d’abord souhaité présenté ses excuses pour son absence : « Désolée, pas trop présente. Mais de gros problèmes de santé. J’espère que ça va finir !!! Marre… », écrit-elle en légende d’une photo dans laquelle nous pouvons découvrir ses pieds et ses jambes très gonflés. 

Roméo, candidat de la même saison de L’amour est dans le pré, n’a pas tardé à demander des nouvelles et apporter son soutien à son amie dans la sections des commentaires : « Courage ma Cricri, on est avec toi. Soigne-toi et reviens-nous avec ton super sourire et ta joie de vivre. Je t’embrasse fort ». « Je n’en peux plus », lui a-t-elle répondu, épuisée mais heureuse d’une telle attention. Mais ce qui l’inquiète le plus, c’est le fait que les médecins n’ont « toujours rien trouvé ». En espérant que le mal qui la ronge soit décelé le plus rapidement possible.  

R.F