« Les gens dans la rue… », Axel et Julien (Star Academy) dénoncent la « haine » dont ils sont victimes

Un peu plus d’un mois après le dernier prime de
la Star Academy

, les ex-résidents du château de Dammarie-les-Lys se sont retrouvés ce samedi 9 mars 2024 au Zénith d’Amiens. En effet,
Pierre, Héléna

, Julien, Candice, Djébril, Axel, ou encore Lénie, ont débuté
la tournée de la Star Ac’

 qui va leur permettre de rencontrer leurs fans à travers toute la France.

Une nouvelle aventure pour eux, que Julien et Axel avaient hâte de démarrer. « On se sent bien. On se sent comme on peut se sentir avant une première. Il y a beaucoup d’excitation, de hâte de performer, et de pouvoir donner au public ce pour quoi il a payé. C’est un peu la continuité de ce qu’on faisait avant mais là on vient en tant qu’artistes et plus en tant qu’élèves », a indiqué le finaliste de l’émission présentée par
Nikos Aliagas

à nos confrères de Purecharts

juste avant le premier concert.

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Julien et Axel, conscients qu’ils ne peuvent pas échapper à la « haine » des réseaux

Mais ce que saluent surtout les deux artistes, c’est l’amour du public. Et ce, même si certains détracteurs peuvent se montrer très violents par moments. Toutefois, pour Axel, cela ne représenterait qu’une minorité. « La haine, c’est que sur les réseaux. La haine en ligne, c’est vraiment une minorité », a-t-il assuré auprès de nos confrères.

Il note également que parmi les plus virulents, « il y en a 3.000 » qui vont faire « 100 tweets », alors que « ceux qui vont te kiffer, ils vont en faire un ». « Et ce n’est même pas sûr qu’ils en fassent un ! Du coup, ça change tout », poursuit-il. Néanmoins, les deux candidats de la Star Academy notent et se réjouissent que « les gens dans la rue » sont « gentils et souvent ils sont surpris de [les] voir ».

Une situation qu’ils auraient préféré éviter mais qu’ils comprennent car les deux artistes sont conscients d’être « la génération des réseaux sociaux ». « On sait que c’est le jeu, on est jeunes […] On sait qu’il y a du mauvais et du moins mauvais ! », ont-ils admis, conscients que la notoriété ne peut pas toujours être toute rose.

R.F