« Ma fille a toujours été dérangée et portée sur la chose, à 5 ans elle venait me harceler », la déclaration choc du papa de Vahina Giocante

Avec son livre « À corps ouvert », Vahina Giocante met enfin des mots sur les maux de son enfance. En effet, aussi loin que remontent ses souvenirs, la comédienne a le sentiment que l’attitude de son père n’est pas normale. 

Plus elle grandit, plus l’emprise de son géniteur prend de l’ampleur. Afin d’éviter que sa fille parle, ce dernier instaure un climat de peur, mais également de culpabilité. Pendant des années,
la divine actrice

ne dévoile pas l’enfer du décor. 

Lorsqu’elle réalise que l’une de ses sœurs subit, le fragile équilibre de Vahina Giocante vole en éclats. Un an avant sa majorité, elle décide de mettre son père face à ses responsabilités
en portant plainte.

Après deux ans d’enquête, il est convoqué chez le juge. Hélas, il va tenter de se dédouaner de manière glaçante. C’est l’évidence, Vahina Giocante ne peut pas oublier cette confrontation.

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La double peine de Vahina Giocante

️ « Ma fille a toujours et dérangée et portée sur la chose, à 5 ans elle venait me harceler quand je prenais mon bain pour jouer avec mon s*xe » a déclaré le père de Vahina Giocante le jour de sa confrontation #QuelleEpoque@FranceTV@LeaSalamepic.twitter.com/3T0FodKe1c

— Quelle Époque ! (@QuelleEpoqueOff) March 30, 2024

Au lieu de s’excuser ou d’assumer, il reporte
 la faute sur les autres,

et notamment sur sa fille. D’ailleurs, le portrait au vitriol de son enfant ne laisse personne indifférent. « Elle a toujours et dérangée et portée sur la chose, à 5 ans, elle venait me harceler quand je prenais mon bain pour jouer avec mon s***« .

De son côté, le juge tourne en dérision cette thèse. En se disant « victime« , il avoue en partie les faits. Résultat des courses, il va faire « 3 ans de prison dont un avec sursis ». 

Sur le plateau de « Quelle époque », un lourd silence s’installe. Ne voulant pas susciter la pitié des téléspectateurs ainsi que du public, Vahina Giocante rebondit. Même si elle reste traumatisée, elle précise que « dans sa réalité« , « il y a pire » que « d’envoyer son père en taule à 17 ans« . 

Plus que jamais, Vahina Giocantese devient
le porte-parole

de tous ces enfants « maltraités ou abusés« . Ils « ne cessent jamais d’aimer leurs parents, [par contre], ils arrêtent de s’aimer eux-mêmes. »

D.AT