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« Pinocchio, avoue ! » : Carla Bruni a confronté sa mère pour faire éclater la vérité

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Né dans une grande famille d’artistes et de puissants, Carla Bruni ne pouvait être autrement. Mais une histoire telle que la sienne ne s’écrit pas sans son lot de secrets. Dans le dernier numéro du magazine Egoïste, l’ancienne première dame revient sur la mort de son père, évoquant au passage sa relation avec son père biologique, qui n’avait que 18 ans lorsqu’elle a été conçue.

Alberto Bruni Tedeschi, le mari de la mère de Carla Bruni, Marisa Borini, était à la tête d’un immense empire industriel qui menait également une belle carrière de compositeur d’opéra et de musiques orchestrales. Carla, elle, est la dernière de la famille et vit comme ses deux aînés dans un luxe fait d’Italie d’abord puis de Côte d’Azur, de yachts et propriétés luxueuses, avant de déménager à Paris. « Mes parents faisaient leurs vies. Ils étaient souvent absents et infidèles, mais ils s’adoraient, nous les admirions et ils avaient pour leurs enfants une immense affection. Ils étaient à la fois absents et affectueux : cette absence combinée à une très grande affection nous a rendu libres d’eux et nous a aidés à nous construire », commente Carla Bruni-Sarkozy à nos confrères.

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« Pinocchio, avoue ! »

Son père Alberto décède en 1996, à 81 ans. Sur son lit de mort, il avoue un secret à sa fille Valeria : il n’est pas le père biologique de Carla. Un jeune Turinois l’est, depuis une brève relation avec Marisa Borini. « Mais n’embête pas ta mère avec ça« , a demandé l’homme d’affaires à sa fille. Carla Bruni, elle se sent « mal » à la mort de son père. Comme si elle savait. La jeune top model qu’elle était se met alors à rêver chaque nuit d’une main d’homme : « Je me disais que cette main devait appartenir à Benedetto Michelangelo, un grand pianiste italien qui fut aussi l’amant de ma mère.« 

Après des années de psychanalyse en raison de trois séance par semaine, elle finit par comprendre qu’un lourd secret entourait sa naissance. « Pinocchio, avoue« , lance-t-elle alors à sa mère, qui lui raconte tout, en détails, sur sa romance d’un soir avec Maurizio Remmert, un voisin de ses parents désormais exilé au Brésil. Elle apprend également l’existence d’une demi-soeur, plus tard embauchée par l’administration Sarkozy. Durant leur première rencontre, elle apprend que son père biologique a toujours eu un oeil sur elle : toutes ces années, il a collecté des photos de sa fille dans un « autel ». Une manière de vivre tout auprès de sa Carla.

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Retrouvez le grand portrait de Carla Bruni dans son intégralité dans le dernier numéro de Egoïste.

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