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M. Pokora fatigué par sa vie de père : son petit Isaiah le fait tourner en bourrique

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Sur la Toile, samedi 16 octobre 2021, M. Pokora a partagé les coulisses de sa vie de famille. Et comme tout père de famille, le chanteur et comédien de 35 ans a dû subir les ravages de l’énergie débordante de son petit garçon Isaiah lors du coucher. Une mésaventure qu’il a relatée sur son compte Instagram avec beaucoup d’humour.

La vie de père de famille n’est pas une mince affaire. Et ça, M. Pokora l’a découvert à ses dépens. Via son compte Instagram, samedi 16 octobre 2021, le chanteur a partagé une parfaite story sur laquelle son jeune garçon Isaiah (1 an) le rend totalement chèvre lors du couché. Une étape compliquée pour de nombreux parents et plus particulièrement pour le jeune comédien à l’affiche de la pièce Les grandes ambitions au théâtre de la Madeleine.

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Car dans la soirée du samedi 16 au dimanche 17 octobre, M. Pokora espérait coucher son jeune enfant tôt. Sauf que ce dernier débordait d’énergie. Ce qui a beaucoup amusé le compagnon de la belle Christina Milian qui, en story, a partagé les coulisses de sa soirée loin de tout repos. Car à 23h29, le jeune garçon n’était toujours pas couché… « Le travail n’est pas encore terminé« , a indiqué l’interprète de Juste une photo de toi en légende (voir diaporama).

Un père de famille craintif

Malgré cette petite course-poursuite avec son jeune garçon, M. Pokora reste un père de famille très à l’écoute de ses enfants. Dans une interview accordée sur Instagram à la Fondation Recherche Médicale sur la maladie d’Alzheimer, le chanteur de 35 ans était d’ailleurs revenu sur l’une de ses grandes craintes : celle d’oublier un jour ses enfants, Kenna Tota (5 mois) et Isaiah Pokora.

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« De l’avoir vécu avec mon grand-père [Atteint d’Alzheimer], le jour où j’ai compris qu’il m’avait oublié quand j’étais rentré dans la pièce où il était et qu’il m’avait vouvoyé, c’est là que j’ai compris qu’il ne savait plus qui j’étais. Et j’ai dû sortir de la pièce, aller pleurer un peu plus loin dans le couloir« , s’était-il souvenu, attristé. Et de poursuivre : « C’est une maladie assez terrible et on n’a pas assez conscience, dans les débuts, de la gravité de la gravité que cela peut avoir avec la maladie. »

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