Connect with us

People

Coralie Dubost : La politicienne et son compagnon violemment agressés à Paris

Published

on

La députée de l’Hérault Coralie Dubost a été victime d’une violente agression à Paris, mardi 19 octobre. La politicienne de 37 ans était avec son compagnon. Tous deux sortaient d’un restaurant lorsqu’une bande s’en est pris à eux et les a dépouillés.

C’est une horrible soirée que Coralie Dubost a passé dans la capitale. Mardi 19 octobre, la députée LREM de la 3e circonscription de l’Hérault et son compagnon se sont faits agressés par « trois ou quatre hommes » alors qu’ils sortaient d’un restaurant parisien situé dans le 7e arrondissement. Comme le rapporte le site La Dépêche qui se fait l’écho de Midi Libre, la politicienne et son partenaire ont été violemment pris à partie et se sont faits dérober leurs biens les plus précieux.

D’après CNews, les agresseurs ont fait « chuter la députée pour lui dérober son sac à main. Son compagnon a lui aussi été projeté au sol par les ravisseurs qui l’ont étranglé avant de lui voler sa montre de marque Rolex et son portefeuille ». En tout, les voleurs sont repartis avec un pactole avoisinant le millier d’euros. L’ancienne compagne du ministre de la Santé Olivier Véran s’est, malgré le choc et la violence subit lors de ce vol, rendue à l’Assemblée nationale ce mercredi 20 octobre. Là-bas, elle aurait été examinée par un médecin. Ni Coralie Dubost ni son compagnon n’ont dû être hospitalisés après cette agression, qui ne leur a, bien heureusement, laissés aucune trace corporelle.

Lire Aussi  Une immense star du PSG bientôt acteur dans une série !

Le couple a porté plainte pour « vol avec violence en réunion » et l’enquête a été remise au 3e district de la police judiciaire parisienne (DPJ).

Ce n’est pas la première fois que l’on sent prend à la Montpelliéraine. En décembre dernier, elle avait confié qu’elle était la cible de menaces de mort. « Je reçois de plus en plus de menaces écrites. J’ai déposé plainte les premières fois (…) J’ai dû déménager parce que j’avais été menacée à mon appartement en début de mandat. Et j’ai fait attention, chose que je n’aurais jamais faite, à prendre une résidence sécurisée« , a-t-elle expliqué à France Bleu.

Á La Une