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Margaux Pinot accuse son compagnon d’insultes et de coups : le verdict est tombé

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Trois jours après une violente dispute conjugale avec son compagnon Alain Schmitt, la médaillée d’or olympique Margaux Pinot s’est livrée lors de l’audience et elle a eu des mots forts. L’accusé a lui été relaxé par le tribunal correctionnel.

C’est une affaire qui a fait grand bruit dans le milieu du judo. Championne olympique avec l’équipe mixte de judo aux derniers JO de Tokyo, Margaux Pinot était sur un petit nuage dont elle est très vite descendue dans la nuit de samedi à dimanche dernier. La jeune femme de 27 ans s’est retrouvé au coeur d’une très violente dispute dans son appartement du Blanc-Mesnil (en Seine-Saint-Denis) avec son compagnon et entraîneur, Alain Schmitt. Après s’être réfugiée chez une voisine en attendant l’arrivée de la police, Margaux Pinot s’est rendue au tribunal correctionnel de Bobigny dans le cadre du procès en comparution de son conjoint.

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Un moment difficile pour la judokate qui a dû décrire la scène avec ses mots. « C’était pas un combat de judo, c’était des coups de poing », synthétise-t-elle pendant le procès. Interrogé par Le Parisien avant le jugement, Margaux Pinot n’avait pas mâché ses mots. « Il y a eu différents épisodes, les insultes, les coups. J’étais à la fois sonnée et consciente de ce qui se passait. J’ai frôlé la mort », assure-t-elle. Un récit glaçant qui est très loin de la version d’Alain Schmitt. Pour l’ancien judoka de 38 ans, il s’agissait plus d’une violente empoignade, décrivant une bagarre aux allures de « tornade ». Il explique que Margaux l’a « poussé contre le montant de la porte », ce qui expliquerait son oeil au beurre noir. Continuant son récit, il indique qu’ils « se sont empoignés et ont vacillé contre tous les murs de l’appartement ».

Un tribunal n’est jamais là pour dire qui dit la vérité et qui ment

Après les témoignages des deux parties, le parquet avait requis un an de prison avec sursis pour « des violences très graves, même pour un primo-délinquant ». Le tribunal correctionnel de Bobigny a finalement décidé de relaxer Alain Schmitt, faute de preuve. « Un tribunal n’est jamais là pour dire qui dit la vérité et qui ment. En l’occurrence nous n’avons pas assez de preuves de culpabilité. Le tribunal vous relaxe », a déclaré la présidente du tribunal hier soir.

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