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Mako du Japon : L’ex princesse se balade désormais incognito avec son mari

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En épousant son fiancé Kei Komuro, la princesse Mako du Japon a dû abandonner son titre ! Le couple a quitté le pays du Soleil Levant et commence une nouvelle vie à New York. Les deux amoureux se baladent en toute simplicité.

Les mariages entre royaux et personnes sans titre sont moins rares, mais pas acceptées partout ! Mako en a fait l’expérience. Forcée à abandonner son titre après son mariage, l’ancienne princesse japonaise de 30 ans commence une nouvelle vie dans l’anonymat. Vie qui lui permet, entre autres, de profiter de moments simples avec son époux.

Une nouvelle vie commence pour l’ancienne princesse Mako du Japon et son mari, Kei Komuro. Le couple a quitté le pays du Soleil Levant après son union et s’est installé à New York. Ils y ont été aperçus le 12 décembre dernier, profitant d’une balade à deux, visages masqués.

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Finies les apparitions officielles avec protocole et tenues de rigueur. Mako fait désormais preuve de simplicité dans ses choix vestimentaires. Lors de cette sortie avec son mari, la fille aînée du prince héritier Fumihito d’Akishino et de son épouse, la princesse Kiko d’Akishino, portait un pull gris, une jupe kaki et des ballerines noires. Kei Komuro était presque assorti à sa femme mais a inversé les couleurs, en enfilant un pull kaki et un pantalon gris.

Mako et Kei sont arrivés mi-novembre à New York. Quelques semaines plus tôt, le 26 octobre 2021, les deux amoureux se mariaient à Tokyo. La cérémonie a eu lieu quatre ans après leurs fiançailles, en 2017, fiançailles qui avaient suscité une forte couverture médiatique au Japon.

La surmédiatisation de sa romance a provoqué chez Mako du stress post-traumatique. La nièce de l’empereur Naruhito l’a bravé en épousant Kei Komuro, la forçant à abandonner son titre royal. Mako a également fait une croix sur un paiement forfaitaire accordé habituellement aux femmes de la maison impériale qui épousent des roturiers (des personnes sans titre), et pouvant atteindre 153 millions de yens (environ 1,2 million d’euros). Elle est la première dans l’histoire du Japon de l’après-guerre à refuser l’indemnité.

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