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Valérie Pécresse aspergée après un discours : la vidéo de l’acte malveillant

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Dure fin de campagne pour la candidate de la droite à l’élection présidentielle ! Ce mercredi 16 mars, Valérie Pécresse faisait un discours sur le thème des entreprises et, après son intervention, deux individus ont réussi à l’asperger d’une poudre rose. La représentante LR a décidé de ne pas porter plainte.

Distancée dans les sondages, lâchée par plusieurs figures de son camp, moquée pour son grand meeting parisien et, désormais, victime d’un acte malveillant. Valérie Pécresse traverse une mauvaise passe à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle. Elle était invitée à dévoiler ses propositions devant la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), ce mercredi 16 mars, et a été prise comme cible par des militants qui lui étaient opposés.

Comme le rapporte BFMTV, qui diffuse une vidéo de la candidate, Valérie Pécresse a donc été visée par au moins un homme après être descendue de l’estrade sur laquelle elle avait fait son discours. La candidate du parti Les Républicains a été aspergée d’une poudre de couleur rose présentée par nos confrères comme étant de la craie. Plus de peur pour de mal mais l’individu a bien évidemment été immédiatement plaqué au sol par le service de sécurité. Selon la chaîne d’informations, l’homme, accompagné d’une autre personne, serait membre d’Akira, un collectif révolutionnaire. « La candidate Les Républicains a ensuite voulu les rencontrer pour en savoir un petit peu plus mais les deux militants n’ont pas souhaité parler avec Valérie Pécresse« , a relaté en plateau le journaliste Bruce Toussaint.

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La femme politique âgée de 54 ans, actuelle présidente de la région Ile-de-France et candidate à la présidence de la République, a indiqué ne pas vouloir porter plainte après cette mésaventure de campagne.

Cet acte commis contre Valérie Pécresse, donnée entre la 3e et la 5e place dans les intentions de vote selon les différents instituts de sondage, survient quelques jours seulement après ce qui est arrivé à son concurrent d’extrême-droite, Eric Zemmour. En déplacement dans le Sud-Ouest, l’ancien polémiste a eu le crâne aspergé d’oeuf par un homme âgé père d’un enfant victime de handicap, lui reprochant ses propos très clivants sur l’inclusion de ces derniers à l’école. Lui aussi avait souhaité le rencontrer et n’a pas porté plainte.

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