Connect with us

People

Valérie Pécresse en mode rebelle et la mine usée : vidéo déroutante de la candidate

Published

on

C’est désormais la dernière ligne droite pour Valérie Pécresse, candidate Les Républicains à l’élection présidentielle. Ce dimanche 10 avril se tient le premier tour et, pour le moment, les sondages ne sont clairement pas en sa faveur. La femme politique a toutefois parcouru un beau chemin avant d’arriver là comme en témoigne une vidéo d’archive de l’INA.

A 54 ans, Valérie Pécresse peut-elle devenir la première femme présidente de la République ? La candidate de droite, désignée à l’issue d’une primaire en décembre dernier, n’est pas donnée favorite mais peut au moins se réjouir d’avoir atteint un impressionnant parcours politique. L’INA a partagé une vidéo qui en dit long sur son engagement, la montrant ainsi en 1991 quand elle n’était alors qu’élève à l’ENA.

Comme beaucoup d’élus, Valérie Pécresse est donc passée par l’École nationale d’administration (ENA) ; elle est sortie classée 2e de la promotion Condorcet. Alors qu’on ne l’imagine pas franchement rebelle, ni révolutionnaire, elle avait pourtant fait partie d’un groupe d’étudiants qui, en 1991, avaient volontairement occupé un amphithéâtre de l’école pour protester contre la décision de transférer l’ENA à Strasbourg. Sur des images d’archives, on la voit être interrogée alors qu’elle est accroupie sur un sac de couchage, prête à passer la nuit enfermée dans l’établissement et, visiblement, elle n’était pas très fraîche… « Je voudrais dormir« , répond-t-elle au journaliste, la mine usée mais souriante. Les futurs énarques auraient-ils festoyé avant de se coucher ? La studieuse Valérie, précédemment diplômée de HEC Paris, avait-elle fait la bamboche ?

Lire Aussi  Luana Belmondo : Comblée, elle lance une box gourmande pour Noël

Valérie Pécresse, qui partage sa vie avec Jérôme Pécresse – le couple possède un patrimoine de près de 10 millions d’euros ! -, a fait énormément de chemin depuis son passage à l’ENA. Elle a été élue conseillère municipale, conseillère régionale puis présidente de la région Ile-de-France mais a aussi été députée et ministre à plusieurs reprises sous la présidence de Nicolas Sarkozy ; ce dernier n’apprécie guère la candidate et a refusé de la soutenir publiquement pendant cette campagne présidentielle… Ancrée à la cinquième place des sondages, derrière Eric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, elle espère déjouer les pronostics et se qualifier pour le second tour qui se tiendra le dimanche 24 avril. Mais Marine Le Pen compte bien prendre sa revanche sur 2017…

Á La Une