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Anny Duperey pas « une grand-mère joueuse », rares confidences sur sa famille

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Dans un entretien accordé à « Gala », Anny Duperey s’est confiée sur son statut de grand-mère. Elle a notamment avoué ne pas être très « joueuse » avec ses petits-enfants, elle qui est plutôt du genre « confiture et potager ».

Pour cette rentrée 2022, Anny Duperey refoule les planches puisqu’elle est à retrouver dans la pièce de théâtre Mes chers enfants, mise en scène par Jean Marboeuf. Une oeuvre dans laquelle elle incarne une mère, veuve de son mari, « qui ne fait rien d’autre qu’attendre la visite de ses enfants le dimanche, avant de prendre conscience tout à coup qu’elle est un poids pour eux » a-t-elle confié au magazine Gala.

Un sujet qui a interpellé l’actrice, qui se reconnaît beaucoup dans l’histoire de cette mère qu’elle incarne. « J’aimerais indiscutablement partir avant d’être un poids » a-t-elle déclaré, elle qui est maman dans la vraie vie de « Gaël et Sara » (fruits de son amour avec l’acteur Bernard Giraudeau décédé en 2010). « Je suis la grand-mère de remplacement de deux filles de ma nièce, puisque ma pauvre soeur n’est plus là. Ça fait bravement huit : sept petites-filles et un petit-fils », a-t-elle ajouté. Une jolie famille donc, bien qu’elle ne se considère pas comme une grand-mère « joueuse ».

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« Assez peu câline »

C’est « peut-être à cause de mon histoire, je n’ai jamais été une petite fille joueuse » s’est-elle souvenue, avant d’ajouter : « Je crois que jouer, sauf quand c’est au théâtre, est la chose qui m’ennuie le plus au monde. Quand on fait un jeu de société par exemple, j’ai un intense sentiment de perdre mon temps. » Et ça, tout le monde le sait dans la famille. « Mes petits-enfants savent que Many (son surnom, ndlr) déteste jouer« , a-t-elle indiqué. « Mais avec moi on peut peindre, jardiner… On peut faire des tas de trucs comme ça !« .

Cette distance, celle qui a été marquée par un terrible drame dans sa jeunesse l’explique par son expérience personnelle. « J’étais avec mes enfants et je suis avec mes petits-enfants comme ma tante (qui l’a en partie élevée, ndlr) était avec moi. C’est-à-dire assez peu câline (…) Alors je leur parle comme des grandes personnes », a-t-elle révélé, même si « avec les tout petits c’est un peu dur« . Elle se souvient d’ailleurs de l’une de ses petites-filles qui avait « la trouille » d’elle « jusqu’à l’âge de trois ans. Un comportement qu’elle a également adopté avec ses propres enfants, expliquant ensuite qu’elle cherchait à être « une mère légère ».

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