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« Ils m’ont glacée » : Disparition de Delphine Jubillar, ces cris entendus par une voisine

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Delphine Jubillar a disparu alors qu’elle venait de passer la soirée devant la télévision en compagnie de son fils de 6 ans. Une voisine a fait part de ce qu’elle a entendu cette nuit-là auprès des gendarmes le lendemain de sa disparition…

Le déroulement de cette nuit de décembre 2020 chez les Jubillar suscite tant d’interrogations. Le 13 décembre prochain, soit deux ans après la disparition de Delphine, une reconstitution des faits aura lieu, à la demande des avocats de Cédric Jubillar. De quoi éclaircir ce qui a pu se passer dans cette maison de Cagnac-les-Mines. D’après le fils aîné du couple, Louis, l’infirmière a regardé avec lui, comme à leur habitude, l’émission La France a un incroyable talent. Il est parti se coucher mais a entendu ses parents se disputer. Une voisine a aussi fait part de ce dont elle se souvenait de cette soirée-là, comme on peut le lire dans le livre de Valentine Arama, journaliste du Point.

Dans Delphine Jubillar, une disparition – enquête au coeur d’un fait divers (éditions du Rocher), le témoignage d’une voisine de Cédric et Delphine fait part d’une situation qui n’a rien d’habituel. Elle s’est présentée auprès de la gendarmerie le 16 décembre, après le passage de militaires venus à son domicile dans le cadre de l’enquête de voisinage. « Cette femme raconte être sortie sur sa terrasse aux alentours de 23h la veille pour fumer une cigarette. Elle explique avoir entendu des cris de femme. Pas de parole, mais des cris de peur. ‘Ils m’ont glacée’, dit-elle. Selon elle, il ne pouvait s’agir que des cris d’une femme adulte. Elle a aussi entendu des aboiements de chiens. Ils était plusieurs mais elle ne peut pas dire combien« , lit-on dans cet ouvrage.

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De quoi renforcer la thèse selon laquelle Delphine Jubillar n’a pas quitté son domicile de son plein gré, à l’inverse de celle de son mari actuellement en détention provisoire pour homicide par conjoint : il a assuré qu’elle aurait pu partir en Espagne. Une chose est certaine, elle n’a pris aucune de ses affaires personnelles – comme son téléphone -, ni sa voiture et n’a jamais essayé de contacter ses enfants tant aimés, Louis et Elyah. Pour l’accusation qui s’appuie aussi sur l’expertise psychiatrique du suspect numéro 1, le mobile du coupable idéal est clair : il ne surmontait pas le fait de voir sa femme, son grand amour de jeunesse, lui échapper et être prête à refaire sa vie avec un autre.

Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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