Coup dur chez les Miss France : la Miss Nouvelle-Calédonie destituée prend une décision lourde de conséquences !

Mathilda Lelong a décidé de tourner la page. Invitée du 19h30 de Nouvelle-Calédonie La Première ce lundi 2 octobre 2023, celle qui fut pendant seulement trois jours Miss Nouvelle-Calédonie 2023 a révélé avoir pris la décision de rendre son écharpe de troisième dauphine du concours Miss France, duquel elle souhaite à présent s’éloigner, à la suite de la terrible désillusion qu’elle a subie en septembre dernier, à la suite d’une erreur de comptage commise par la commissaire de justice, et dont elle n’a eu écho qu’au bout de 72 heures !

« Cela a été très difficile au début, c’était une grosse déception » a confié la jeune femme de 24 ans, qui entend désormais tourner définitivement la page de cette expérience douloureuse pour revenir à une vie normale. Professeure de SVT à la ville, diplômée d’une licence en SVT et bénévole à la SPANC, un service public d’assainissement non collectif, comme elle l’indique elle-même dans sa bio Instagram, Mathilda Lelong a pris la lourde décision de rendre son écharpe, et de se destituer elle-même de son sacre de troisième dauphine : « Pour avancer et m’épanouir à nouveau, j’avais vraiment besoin de sortir du monde de cette élection. »

La nouvelle Miss élue a bien du mal à fêter sa victoire

Pour rappel, le 9 septembre dernier à Nouméa, Mathilda Lelong était sacrée Miss Nouvelle-Calédonie 2023 et prétendait au titre de Miss France 2024, dont la cérémonie sera proposée en décembre prochain sur TF1, co-présentée par Jean-Pierre Foucault et Cindy Fabre. Si pendant plus de trois jours, le rêve était concret, avec séances photo et interviewes à la chaîne, la jeune femme de 24 ans est tombée de haut le mardi suivant son sacre, en apprenant l’erreur commise par la commissaire de justice. C’est finalement Emma Grousset qui a été élue, mais cette dernière a bien du mal à vivre sereinement son sacre : « Il m’était difficile de me réjouir de cette victoire en sachant pertinemment qu’elle ferait souffrir la première concernée par cette erreur ».

Dans un communiqué publié dans la foulée, le comité Miss Nouvelle-Calédonie s’est déchargé de toute responsabilité dans cette erreur, en rejetant la faute sur l’huissière de justice : « Après une analyse approfondie et une vérification des résultats et du procès-verbal transmis par l’autorité en charge du contrôle et de la conformité de l’élection, il apparaît qu’une erreur de saisie des notes attribuées par les membres du jury aux quatre finalistes soit à l’origine de ce regrettable imbroglio (…) Aucun manquement dans la méthode de calcul ou dans la régularité de l’élection n’est à déplorer ».