Audrey Crespo-Mara « met des coups de pied sous la table » à Thierry Ardisson pour le faire taire dans « Quotidien »

Thierry Ardisson n’en a plus rien à ficher ! Invité ce vendredi de l’émission Quotidien sur TMC pour assurer la promotion de son émission anniversaire de 93, Faubourg Saint-Honoré diffusée le même jour sur Paris Première en prime, l’homme en noir du PAF est revenu sans filtre sur les rumeurs qui ciblent depuis quelques semaines l’animateur et chroniqueur Bertrand Chameroy. L’ex-chroniqueur de Touche pas à mon poste, qui officie désormais dans C à vous et qui vient d’hériter de sa propre émission d’humeur baptisée Bertrand n’a pas sommeil et qui sera diffusée début 2024 sur France 2 en deuxième partie de soirée, a été la cible il y a quelques semaines de nombreuses rumeurs sur les réseaux sociaux et relayées par la presse people. Des rumeurs que l’intéressé n’a jamais commentées, mais que Thierry Ardisson n’a pas hésité à évoquer, agaçant son épouse Audrey Crespo-Mara.

En effet, Bertrand Chameroy faisait partie des convives d’Audrey Crespo-Mara et Thierry Ardisson ce vendredi sur Paris Première, dans leur émission rebaptisée 214, rue de Rivoli, aux côtés de Muriel Robin et sa femme Anne Le Nen, de Gérard Darmon, de Laurent Baffie et de Franz-Olivier Giesbert. Évoquant l’absence de la compagne de Bertrand Chameroy, Thierry Ardisson a raillé ce dernier : « (Elle n’a pas voulu), ils sont un peu en froid ». Des révélations qu’a de suite contrées la journaliste de TF1, passablement agacée par la sortie de route de son époux : « Oh, n’importe quoi ! » Espiègle, Thierry Ardisson a continué de charrier Bertrand Chameroy, agaçant toujours un peu plus celle qu’il a épousée il y a bientôt dix ans : « Là je commence à prendre des coups de pied dans les jambes »s’est amusé l’homme en noir.

Maud Fontenay imposée à Cyril Hanouna et Thierry Ardisson

Quelques instants plus tard, Thierry Ardisson s’est lâché en dénonçant « le système Bolloré » et les conditions de travail qui seraient soumises à Cyril Hanouna et aux autres animateurs et journalistes du groupe. L’ancien animateur de Salut les terriens a notamment affirmé s’être vu imposer Maud Fontenoy à plusieurs reprises sur son plateau, mais n’a pas tenu à en révéler les raisons, précisant toutefois qu’elle faisait partie du groupe de surveillance de Vivendi, propriété de Vincent Bolloré. Et de poursuivre, plus vindicatif que jamais : « Hanouna n’est possible que parce que Bolloré le soutient. Sans Bolloré, il n’y a pas d’Hanouna. Il faut dire la vérité sur Bolloré, c’est une entreprise qui est insupportable. Les gens sont esclavagisés. (…) Un jour, on m’appelle en me disant de couper une interview d’un mec du Qatar : T’as intérêt à couper sinon faudrait que tu fasses attention en traversant la rue. C’est quand même une réflexion parfaitement mafieuse. Ce côté mafieux qu’Hanouna montre tous les jours, en fait, il est général dans la maison ».