« Ce n’est pas convenable » : cette remarque osée sur le physique d’Elisabeth Borne a fait bondir Pascal Praud

Une passation de pouvoir qui continue de faire couler de l’encre… Mardi 9 janvier 2024, au lendemain de la démission d’
Élisabeth Borne

, Gabriel Attal a été nommé Premier ministre. L’occasion pour l’ancienne cheffe du gouvernement de prononcer discours. En effet, au moment de souhaiter la bienvenue à Matignon à l’homme de 34 ans, Élisabeth Borne s’est adressée aux Français.

Une prise de parole durant laquelle cette dernière s’est particulièrement tournée vers les jeunes femmes qu’elle a incité à croire en leurs rêves en prenant exemple sur son parcours.

Un discours commenté dans 
L’Heure des pros
 ce mercredi 10 janvier 2024… Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la chroniqueuse 
Sarah Saldmann

n’a pas vraiment été touchée par les mots de l’ancienne Première ministre.

« Je vais répondre, vu que je suis la seule femme de ce plateau. Je trouve que l’argument est un peu facile », a lâché l’avocate sur le plateau de Cnews avant d’expliquer que selon elle, la réussite n’était pas une question de genre : « Je pense que, quand on veut vraiment y arriver, on peut y arriver », a-t-elle estimé.

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Sarah Saldmann coupée par Pascal Praud

« J’entends beaucoup de personnes dire : ‘Quand on est une femme, tout est plus dur. Si on est jolie, il y a quelque chose en plus.’ Bon, ce n’était pas son [cas]…’, a ajouté Sarah Saldmann dans la foulée avant de se reprendre. « Pardon. Je ne vais rien dire sur elle, sur son physique. Mais ce que je veux dire par là, c’est que… « , s’est-elle rattrapée jusqu’à ce que l’animateur lève la main pour la stopper.

« Ce n’est pas convenable », a lancé
Pascal Praud

, visiblement irrité à l’idée qu’une chroniqueuse de l’émission se permette de dénigrer le physique de l’
ancienne Première ministre

.

« Ce que je veux dire par là, c’est que, quand on est une femme, on peut y arriver et cet argument, je pense que ce n’est pas celui qu’il faut retenir », a finalement conclu Sarah Saldmann…

L.Z.