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Cambriolage, agression « et plus grave encore » : Gilles Verdez vit l’enfer à cause de « TPMP »

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Il n’est jamais chose aisée de s’exposer médiatiquement, surtout dans une émission controversée et qui rassemble chaque soir des millions de téléspectateurs. Les chroniqueurs de TPMP sont les mieux placés pour en parler. Ce jeudi 11 janvier 2024, réagissant aux nombreux cambriolages que subissent plusieurs célébrités, et aux témoignages apportés par Christine Kelly et Oliv Oliv la veille sur les menaces qui les ciblent régulièrement, Gilles Verdez a révélé l’enfer qu’il vit dans sa vie quotidienne en raison du poste de chroniqueur qu’il occupe dans Touche pas à mon poste depuis douze saisons : « J’ai eu des menaces directes (…) Ca a été très compliqué. C’était des menaces ciblées. J’ai porté plainte. Je remercie vraiment la police. C’était divulgation de l’adresse avec incitation à cambriolage, incitation à agression, et plus grave encore«  a expliqué le journaliste et ex-rédacteur en chef du Parisien.

S’il tient à remercier la police, qui s’est montrée selon lui « très efficace », Gilles Verdez a toutefois dû se heurter à l’impossibilité de retrouver ses cyber-harceleurs et cyber-agresseurs : « Mes coordonnées ont été dévoilées, et malheureusement, c’est pour ça que je me retrouvais dans la fin du témoignage d’Oliv Oliv hier, ça a été classé sans suite, non pas par manque de travail des policiers, mais parce qu’ils ne sont pas arrivés à remonter aux adresses IP qui étaient à l’origine de la divulgation des coordonnées«  explique le chroniqueur le plus controversé de TPMP, qui se retrouve régulièrement au cœur de vifs débats et de vives polémiques.

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« J’ai dû faire des tours dans Paris avant de rentrer »

Face aux nombreuses attaques et menaces qu’il subit, la police et les agents de sécurité ont donné de précieux conseils à Gilles Verdez, qu’il respecte scrupuleusement depuis quelques années afin d’éviter de rencontrer une mauvaise personne : « Ne pas rentrer chez soi directement, observer quand on a un véhicule (qui nous suit), par exemple de la production à la fin de l’émission on a un véhicule qui nous ramène, c’est aussi une mesure de sécurité (…) parce qu’avant, moi, je rentrais en transports en commun, et vos équipes ont dit non. J’ai été suivi en voiture à un moment, j’ai dû faire des tours dans Paris avant de rentrer (…) Je me protège, on a pris des mesures de protection, je fais très, très attention. Je prends un exemple bête : je ne me balade plus dans Paris à visage découvert. Capuche et masque. Ca peut paraître bête aux gens, mais c’est des consignes directes des agents de sécurité et des policiers. »

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