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Amélie Mauresmo porte plainte contre son épouse pour « harcèlement » : « Je vis l’enfer »

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Ce mardi 23 janvier 2024, la future ex-femme d’Amélie Mauresmo était jugée à huis clos par le tribunal de Bayonne, devant son épouse, qui s’était constituée partie civile contre elle. Et pour cause… Comme le révèlent France Bleu et Le Parisien ce mercredi, la championne de tennis a engagé une procédure judiciaire à l’encontre de sa femme en septembre dernier, en portant plainte contre elle pour « harcèlement ». A l’époque, Marie-Bénédicte Hurel avait été placée en garde à vue, puis relâchée dans l’attente de son procès. Ce mardi, devant la cour, Amélie Mauresmo a assuré « (vivre) l’enfer » depuis qu’elle a demandé le divorce, dénonçant des faits « d’humiliations, de chantage, d’insultes », qu’elle recevrait frontalement, mais également par SMS.

L’avocat de la partie civile a dévoilé une incapacité totale de travail (ITT) de dix jours, prescrite à Amélie Mauresmo en raison de « l’enfer » qu’elle dénonce et porte devant les juridictions. Le ministère public a donné raison à Amélie Mauresmo, et a requis dix mois de prison avec sursis contre celle qui demeure encore son épouse. Le verdict sera rendu le 13 février prochain, veille de la Saint-Valentin, indiquent nos confrères précités.

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Mariées depuis 2021, les deux femmes s’étaient connues en 2014, et ont vécu une belle histoire d’amour pendant neuf ans. Mais mi-2023, la championne de tennis décide de mettre un terme à leur mariage. Marie-Bénédicte Hurel, 60 ans, conteste fermement les faits que lui reproche Amélie Mauresmo. Ses avocats ont fait savoir que « les SMS contestés ne relèvent pas du tout du harcèlement, mais de la simple discussion sur la gestion du quotidien ». La défense, elle, réclame une relaxe de leur cliente. Verdict dans trois semaines… 

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