J. K. Rowling (« Harry Potter ») au coeur d’une vive polémique : ce don de 88 000 dollars pour une association anti-LGBT ne passe pas

Pour 
J. K. Rowling

, la définition de la femme doit rester celle qu’elle a toujours connue ; et c’est ainsi que l’auteure britannique, qui enchaîne les prises de parole polémiques depuis de nombreuses années, a choisi de faire un don de 70 000 livres à For Women Scotland, une association qui lutte contre les droits accordés aux femmes trans dans le monde, et que la créatrice de 
la marque Harry Potter

 approuve… Une nouvelle sortie controversée de l’auteure milliardaire, qui depuis des années, provoque nombre de polémiques suite à des sorties plus que doutes sur la communauté LGBT, et plus spécifiquement sur la transidentité.

J. K. Rowling a choisi de faire ce don à For Women Scotland à la suite d’un contrôle judiciaire prononcé contre cette organisation de défense des droits des femmes non trans. La Cour suprême a acté cette décision ce vendredi 16 février 2024, à laquelle 
J. K. Rowling

a jugé bon de s’opposer publiquement. Elle a ainsi décidé de contribuer aux frais juridiques nécessaires pour faire appel de cette décision, et a versé 70 000 livres à la fondation, soit l’équivalent de 88 000 dollarsou 81 000 euros… Dans un communiqué, l’auteure a déclaré : « Vous savez à quel point je suis fière de vous connaître ; merci pour le travail acharné et la persévérance qui sont vôtres. C’est une affaire historique ».

Elle préfère aller en prison que d’accorder des droits aux trans

Le financement participatif lancé, et impulsé par J. K. Rowling, atteint déjà 102 000 livres (128 000 dollars) en quelques jours, sur 807 promesses de dons, soit une moyenne conséquente de 126 livres (147 euros) par tête donatrice. Depuis plusieurs années, cette association lutte, aux côtés de l’auteure, pour que la définition britannique du mot « femme » ne soit pas modifiée, et que les femmes trans n’obtiennent pas les mêmes droits que les femmes non trans. Une transphobie que l’auteure de Harry Potter 
a toujours assumée

, indiquant même en octobre dernier qu’elle préférait « aller en prison »plutôt que d’accorder les bons pronoms aux personnes trans. Hors de question pour elle d’appeler « Elle » une femme trans, et « Il » un homme trans… Et vive la tolérance !