« Koh-Lanta » : un candidat mis en examen pour agression sexuelle sur la fille d’une célébrité

Depuis le 12 février dernier, TF1 diffuse chaque mardi soir, la nouvelle saison de son émission culte, « Koh-Lanta ». Baptisée « Koh-Lanta : Les Chasseurs d’immunité », cette 25e édition tient toutes ses promesses et donne aux fameux colliers d’immunité cachés dans la jungle, un pouvoir jamais donné auparavant.

Si les amoureux du célèbre programme d’aventure sont ravis, on se souvient qu’en 2018, ils avaient été privés d’émission pour une triste raison. Une sordide affaire d’agression sexuelle avait en effet entraîné l’interruption brutale du tournage qui se déroulait aux îles Fidji. 

Koh-Lanta 2018 : une affaire d’agression sexuelle interrompt le tournage
Quelques heures après l’annonce de l’interruption du tournage, le 11 mai 2018, il avait été révélé que la candidate ayant affirmé avoir été victime d’une agression sexuelle est Candide Renard… qui n’est autre que la fille la fille de l’entraîneur de football Hervé Renard. Nous avons également appris que l’homme
qu’elle accuse de l’avoir agressé sexuellement est Eddy Guyot

, un autre candidat âgé de 33 ans au moment des faits. 

À la suite de cette accusation, tous les candidats avaient immédiatement été rapatriés en France et
certains avaient pris la parole pour raconter ce qu’ils ont vu.

Dès sa sortie de l’avion, le jeune homme avait alors été entendu par la police. « Tous les soirs, j’ai dormi entre un homme et la paroi de la cabane. Candide, elle était plus loin. Quand les cameramen sont revenus dans la nuit pour nous filmer, je me suis réveillé et Candide était à moitié sur moi. Ça a été filmé et ça me disculpe complètement » avait-il déclaré, niant donc fermement les faits. 

Koh-Lanta 2018 : Eddy Guyot mis en examen
Après
une longue enquête menée et encadrée par le parquet de Nancy

(Meurthe-et Moselle), un rebondissement vient finalement d’avoir lieu. Selon les informations du Parisien, Eddy Guyot a été mis en examen pour agression sexuelle le 16 novembre 2022. Le 14 mars dernier, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Nancy a rejeté la requête tendant à l’annulation de la mesure ce qui veut dire que le jeune homme pourrait prochainement devoir répondre des accusations lors d’un procès. 

ES