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Matt Pokora : sa plus grande peur ? Oublier un jour ses enfants…

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Matt Pokora : sa plus grande peur ? Oublier un jour ses enfants…

Matt Pokora a été profondément traumatisé par la maladie d’Alzheimer qui a touché son grand-père. En alliance avec la Fondation pour la Recherche Médicale, il réitère sa plus grande peur : celle d’oublier un jour ses enfants.

Matt Pokora : ses fans s’inquiètent pour lui

Matt Pokora est actuellement au théâtre où il interprète Les Grandes Ambitions aux côtés d’Estelle Lefébure et Philippe Lellouche. Un nouvel exercice qui semble très apprécié du chanteur, très excité de pouvoir jouer devant sa femme et sa belle-fille lors de la première interprétation du morceau.

 » Je n’aurais pas pu demander plus pour ma première nuit sur les planches. Une salle bondée et bondée. Qui a ri, pleuré et même pleuré de rire… Merci à vous. Merci à mes partenaires et nos équipes Il a expliqué sur Instagram.

Et il faut croire que ce nouveau défi n’est pas facile pour le parent. En fait, Matt Pokora avait l’air particulièrement fatigué dans l’un des messages de sa femme. A tel point que les internautes ont commencé à s’inquiéter.

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Matt Pokora : il a peur d’oublier ses enfants

Le dimanche 19 septembre 2021, Matt Pokora s’est exprimé sur son compte Instagram pour envoyer un message important à sa communauté. Très impliquée dans la recherche médicale, la chanteuse a posté une interview vidéo sur la maladie d’Alzheimer, en collaboration avec la FRM.

Comme vous l’avez mentionné à plusieurs reprises, le propre grand-père de Matt Pokora souffrait de cette maladie dégénérative. Une maladie qui a profondément ému l’artiste lorsqu’il était jeune. Au cours de cette interview, il a également déclaré que sa plus grande peur est, Un jour, il a oublié ses propres enfants, comme son grand-père aurait pu l’avoir fait.

 » L’ayant vécu avec mon grand-père, le jour où j’ai compris que j’avais oublié quand j’étais entré dans la pièce où j’étais et qu’il m’avait vue, c’est là J’ai réalisé que je ne savais plus qui j’étais. Et j’ai dû quitter la pièce Allez pleurer un peu plus dans le couloir. « Et puis ajoutez : » C’est une maladie assez terrible et nous n’étions pas suffisamment conscients, au début, de la gravité de la gravité qui peut être associée à la maladie.« Une histoire très émouvante.

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