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Calogero papa : sa fille Nina, modèle lingerie, partage les coulisses de son dernier shooting

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Nina Maurici, la fille de Calogero et d’Hortense d’Estève, a obtenu son premier contrat en tant que modèle en octobre 2021. La jeune femme a pris la pose pour une collection de culottes menstruelles de la marque Etam.

Il faut croire que l’expérience l’a marquée ! Au mois d’octobre dernier, la France découvrait le visage de Nina, la fille aînée de Calogero, 17 ans, dans une campagne de la marque de lingerie Etam. La jeune femme avait pris la pose pour une gamme de culottes menstruelles en coton, microfibre et dentelle et représentait alors, le modèle AYA. Sur son compte Instagram, la jeune mannequin a partagé un « petit throwback« , le 20 novembre 2021, mélange de photographies et de vidéos capturées à l’époque de son shooting professionnel. Ce n’est, donc, que le début d’une sacrée aventure !

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Nina est la plus grande fille de Calogero, qui a connu le bonheur d’être père pour la première fois dans le cadre de son mariage avec Hortense d’Estève – attachée de communication puis productrice, qui a notamment créé la société NewH. Uni pendant sept ans à sa partenaire, il a ensuite accueilli Romy en 2006, puis Pio et Rita, en 2013 et 2016, avec sa chérie actuelle, la chanteuse et parolière Marie Bastide. C’est la plus jeune, d’ailleurs, qui a joué les stylistes pour la pochette du dernier album du chanteur, intitulé Centre Ville. « Tu as vu les chaussures léopard ? C’est ma fille Rita, cinq ans, qui les a choisies, expliquait-il, amusé, à Michel Drucker sur France 2. Elle m’a dit : ‘Papa tu mets ça !’« 

C’est plus naturel avec mes filles

Il a donc transmis, à chacun de ses enfants, un certain sens du style. Mais quel genre de papa est donc Calogero ? Sans jouer au jeu des favoris, l’artiste avouait, dans l’émission Thé ou café, en 2017, avoir des relations très différentes avec chaque membre de sa petite famille. « Le garçon c’est très différent, avouait-il à Catherine Ceylac. C’est plus naturel avec mes filles bizarrement. Le fait que ce soit un garçon, on a tout de suite bêtement l’image de soi-même. Mon fils est plus beau que moi, c’est clair et je suis sûr qu’il sera meilleur. » Fera-t-il bientôt, à son tour, crépiter les flashs ?

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