« C’est terrible… ça fait mal ! » : Sylvie Tellier victime d’un accident de ski rocambolesque, elle ne peut plus bouger

Les fins d’années sont toujours chargées pour la directrice générale du comité Miss France. Depuis qu’elle a repris le flambeau de Geneviève de Fontenay, en 2007, Sylvie Tellier arpente le pays à la recherche des beautés les plus éclatantes… et elle vient justement d’accueillir sa nouvelle recrue, Diane Leyre, qui a été couronnée le 11 décembre dernier à Caen. C’est pourquoi, après tant d’effort, la maman d’Oscar, Margaux et Roméo a voulu s’offrir un peu de réconfort en partant skier du côté d’Avoriaz, en Haute-Savoir.

Je n’en peux déjà plus

Malheureusement, la station Les portes du soleil lui a surtout ouvert les portes de l’hôpital. Victime d’un grave accident sur la poudreuse, Sylvie Tellier a été prise en charge et a raconté ses malheurs sur son compte Instagram. Premier bilan : rupture du ligament interne et du croisé antérieur, en attente de l’IRM pour savoir comment vont ses ménisques et si une opération est nécessaire. « C’est la méga poisse, raconte-t-elle. Pour ceux qui me connaissent ça va être l’angoisse absolue. Parce que je ne sais pas tenir en place et là, une journée immobilisée sur mon canapé à pas bouger je n’en peux déjà plus. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ? Heureusement j’ai mes petits loulous qui me tiennent compagnie. »

C’est terrible. Ca fait mal. C’est long…

Il faut dire que cet accident va la priver de bien des choses. Après la neige, Sylvie Tellier devait retrouver le soleil des Antilles, puisqu’elle avait prévu un séjour, en amoureux, avec son époux Laurent. Puis elle aurait dû revenir en France et chaperonner le règne de Diane Leyre, comme elle l’avait fait l’année précédente avec Amandine Petit. Hélas, les docteurs évoquent 12 semaines de convalescence… et donc de cessation d’activité. « C’est terrible. Ca fait mal. C’est long. Tu peux rien faire, regrette-t-elle. Ce qui m’angoisse vraiment le plus c’est de ne pas retrouver ma capacité sportive. Parce que le sport pour moi c’est nécessaire en fait, c’est ma bulle d’oxygène. Et là quand on me parle de l’état de mon genou je suis hyper angoissée. J’ai envie de courir, j’ai envie de faire du vélo, du paddle, du yoga… » Il faudra faire encore preuve d’un peu de patience…