Elizabeth II positive au coronavirus : Buckingham en dit plus et continue d’inquiéter

Les nouvelles restent peu rassurantes du côté d’Elizabeth II… Ce jeudi 24 février 2022, le palais de Buckingham a – une fois encore – annoncé le report de plusieurs engagements auxquels la souveraine devait prendre part depuis son château de Windsor. Testée positive à la Covid-19 dimanche dernier, la reine ne souffrait que de symptômes légers et devait poursuivre quelques engagements officiels peu fatigants. Mais elle doit finalement annuler des visioconférences…

« Les deux audiences virtuelles qui étaient prévues pour la reine aujourd’hui seront désormais reportées à une date ultérieure alors qu’elle continue de s’isoler avec la Covid, rapporte la journaliste anglaise Rebecca English sur Twitter. Sa Majesté poursuit ses tâches légères, selon le palais de Buckingham. Aucun autre rendez-vous n’est prévu cette semaine. » Sur Twitter toujours, l’expert royal Omid Scobie a précisé qu’elle avait tout de même pu parler avec son Premier ministre Boris Johnson mercredi soir, pour leur traditionnel entretien hebdomadaire.

Mardi déjà, des audiences par écrans interposés avaient été annulées au dernier moment. Faut-il s’inquiéter pour la souveraine de 95 ans, bien qu’elle soit triplement vaccinée ? Elizabeth II pourrait malheureusement avoir contracté le coronavirus après avoir vu son fils le prince Charles. Le prince de Galles a en effet été déclaré positif le 10 février, 2 jours après s’être entretenu avec sa mère. Son épouse Camilla a elle aussi été contrainte de s’isoler après avoir été testée positive à son tour…

Ce début d’année est décidément riche en émotion pour Elizabeth II. Si la Britannique a eu la joie d’entamer les célébrations de son jubilé de platine pour ses 70 ans de règne, qui se poursuivront en grande pompe début juin, elle a également dû gérer les démêlés judiciaires de son fils le prince Andrew, accusé d’agressions sexuelles sur mineur outre-Atlantique. Finalement, un accord financier a été passé la semaine dernière, notamment grâce à la contribution pécuniaire de la souveraine.