Elizabeth II : Le Jubilé de la reine a plombé l’économie britannique, des millions perdus !

Une fiesta qui coûte cher, trop cher ? L’Office national des statistiques (ONS) a publié un rapport vendredi 12 août 2022 dans lequel il évoque le produit intérieur brut britannique (PIB) impacté par… le Jubilé de Platine de la reine Elizabeth II !

Sur le seul mois de juin, l’activité s’est contractée de 0,6%, après une progression de 0,4% en mai (chiffre révisé) à cause notamment de l’impact des célébrations du jubilé de la reine Elizabeth II, qui a donné lieu à deux jours non travaillés, précise l’ONS. Le repli au deuxième trimestre « était largement attendu vu l’impact des jours fériés pour le Jubilé« , estime Alpesh Paleja, économiste cité par l’AFP. Pour rappel, les festivités ont eu lieu du 2 au 5 juin 2022 afin de célébrer les 70 ans de règne de la populaire monarque. Au programme : des parades militaires, des défilés, des spectacles… Au total, comme le souligne le journal Le Figaro, pas moins de 200 000 évènements locaux ont eu lieu dans tout le Royaume-Uni lors de cette période ! Un bel argument pour les partisans de la couronne, qui ont pu tester la solidité de l’attachement des sujets à Sa Majesté. Mais cela, c’était avant de se rendre compte du coup économique, que les anti monarchie ne se priveront sans doute pas de mettre en avant…

Pour rappel, le Jubilé d’Elizabeth II – aujourd’hui âgée de 96 ans et veuve depuis la mort de son époux le prince Philip – a aussi donné lieu à une flopée de chiffres impressionnants. Pas moins de 90 millions de pintes de bière ont été vendues pendant cette période, 356 millions d’euros devaient être dépensés par les curieux en produits dérivés faisant tourner les caisses de l’état, 1 milliard de téléspectateurs attendus…

Alors que sa santé est déclinante mais qu’elle refuse catégoriquement d’abdiquer au profit de son fils le prince Charles, la reine Elizabeth II se repose comme chaque été dans son château adoré de Balmoral. Elle s’y est installée en toute discrétion le 9 août, sans rencontrer la presse ou les photographes…