Stéphane Bern : Son père et son frère morts à 6 mois d’intervalle, confidences après les drames

Stéphane Bern n’oubliera jamais cette fatidique année 2022. Si le décès de la reine Elizabeth II a forcément touché au coeur l’animateur le plus calé en famille royale du PAF, celui qui est désormais acteur a dû faire face à bien pire : la mort de plusieurs de ses proches. En février dernier, Stéphane Bern perdait son père Louis Bern, 91 ans, une triste disparition mais dans la logique de la vie. Il ne s’attendait pas à devoir dire adieu 6 mois plus tard à son grand frère Armand.

C’est sur Instagram que Stéphane Bern avait annoncé la mauvaise nouvelle : « Armand, mon cher frère. On s’était juré qu’on resterait unis pour la vie et la mort nous a séparés ce 6 août. Tu es parti trop tôt, à un mois de ton 60e anniversaire, après avoir lutté courageusement contre le mélanome qui a fini par t’emporter. » Ces deux pertes à quelque temps d’intervalle n’ont pas entaché la soif de vivre de Stéphane Bern. Fait étonnant, ce serait même plutôt le contraire.

À Télé-Loisirs, Stéphane Bern est revenu sur ces deux sombres événements survenus au cours de l’année. Un moyen pour lui de prendre du recul et de voir le bon côté des choses : la vie peut s’arrêter à tout moment. C’est la raison pour laquelle l’animateur a décidé de vivre à fond : « On se sent à la fois plus libre et, en même temps, on est davantage attentif à ce que l’on fait. J’ai encore plus envie de croquer la vie ! Comme l’explique Montaigne dans ses Essais, la seule façon de domestiquer la mort, c’est de vivre à plein. »

Heureusement, Stéphane Bern n’est pas seul pour pouvoir profiter de la vie. En plus de ses amis, il a la chance de pouvoir compter sur le soutien de son chéri Yori Bailleres, avec qui il a officialisé sa relation l’année dernière après un an d’amour fou et d’évidence : « À la télévision, il ne m’avait jamais fait d’effet particulier, alors que dès que je l’ai vu en vrai il m’a touché. Je ne voudrais pas faire de psychologie de comptoir, mais j’ai reconnu en lui une blessure, la même que la mienne, et une sorte de résilience« , déclarait Yori. Un vrai coup de foudre.