Vianney au coeur du scandale : cinglante mise au point !

Vendredi 23 juin 2023, Geoffroy Lejeune était nommé directeur de la rédaction du Journal du dimanche. Un choc pour Le Monde qui s’est empressé de dresser un portrait peu flatteur du journaliste. « Outre la nièce de Marine Le Pen – à qui il consacre de nombreux numéros –, ses intimes comptent le chanteur Vianney, l’humoriste Gaspard Proust, avec qui il part en vacances dans son chalet des Alpes, ou encore l’écrivain aux accents réactionnaires Michel Houellebecq », écrivaient Ivanne Trippenbach et François Krug dans les colonnes du quotidien. Pris à partie bien malgré lui, l’interprète de Je m’en vais s’est rapidement exprimé sur les réseaux sociaux.

« Dans ce métier où je croise le Tout-Paris, j’ai pu parler avec des gens de tout bord ; Du Pr Hollande au Pr Sarkozy, en passant par le Pr Macron. De Christophe Conte à Geoffroy Lejeune, en passant par Bruce Toussaint. Ces gens sont tous différents, tous intéressants visiblement sensibles à ma passion : la musique », s’est-il défendu avant d’ajouter : « Merci de ne pas me mettre dans vos salades. Je fais des chansons pour permettre aux gens d’oublier ces sujets qui divisent et dont je ne me suis jamais mêlé ».

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« Un sectarisme triste et dangereux »

Quelques jours après cette cinglante mise au point, les critiques semblent toujours fuser. Agacé par les vilaines remarques qu’il ne cesse de recevoir, l’ancien coach de The Voice s’est donc senti obligé de prendre la parole une nouvelle fois. Ce jeudi 29 juin 2023, il s’emparait de son compte Instagram afin de mettre les points sur les « i » une bonne fois pour toutes. Pour justifier ses relations avec Geoffroy Lejeune, le chanteur n’a pas hésité à citer les paroles de La Même. « J’suis trop compliqué. Je ne choisirai jamais que les deux côtés. Ne me demandez pas où je veux aller. Même les singes singent les sages. Et tous ces sages ont fait des cages où tous nous ranger. J’ai suivi mille chemins et serré dix mille mains. On peut aimer Brel et Megui. Aimer même nos ennemis »

Et de poursuivre : « Je démens le caractère « intime » de cette amitié. Mais je fustige surtout ce procédé « dénonciateur », révélateur d’un sectarisme triste et dangereux. Chacun m’intéresse, dans sa différence et sa complexité. Vivre vraiment, c’est aimer l’Autre. Je suis un chansonnier libre et vivant, engagé sur des thématiques humaines, mais certainement pas au service d’un spectre politique. Je suis riche d’amitiés diverses, intimes ou non. Et quoi qu’il arrive, ça me regarde. Merci de ne plus me politiser et de prôner le mélange plutôt que le repli sur soi. » De quoi faire taire les mauvaises langues !

V.B