Marlène Duval (Loft Story) : cette somme à sept chiffres que lui a rapporté son titre « Un enfant de toi »

Une musique qui reste dans la tête, par ses paroles et sa mélodie si envoûtante. Un enfant de toi est sorti en 1987 et pourtant, le titre de Phil Barney a refait parler de lui plusieurs années après sa sortie. Plus précisément en 2002, lorsque Marlène Duval participe à Loft Story

. Restée seulement une semaine dans l’émission animée par
Benjamin Castaldi

, la jeune femme a réussi à percer sans pour autant rester dans la télé-réalité. C’est en effet grâce à sa voix et sa reprise du titre de Phil Barney lors de ses quelques jours dans l’émission, qu’elle a réussi à se faire remarquer par le chanteur.

Celui-ci, sous le charme de la voix de Marlène Duval, lui a proposé une collaboration. Tous les deux, ils ont donc enregistré une nouvelle version d’Un enfant de toi qui a cartonné. Ce vendredi 1er décembre, l’ex-candidate de l’émission de M6 est revenue sur ce succès au micro de
Jordan de Luxe

. « En deux semaines, on était disque d’or. En quatre semaines, on était numéro 1 top des ventes, après disque de platine. C’était fou parce qu’à l’époque il n’y avait pas de téléchargements donc c’est que de la vente en disques », s’est-elle souvenue.

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Joli pactole pour Marlène Duval

Mais qu’a-t-elle fait de cet argent ? D’ailleurs, combien ce titre lui a rapporté ?
Lorsque Jordan de Luxe lui demande

si ses gains atteignent 1 ou 2 millions d’euros, l’artiste confirme en partie les dires du journaliste et précise que les revenus de la chanson représentent « beaucoup d’impôts ».

« On n’est pas bête, on ne s’achète pas des sacs à main. On est dans un monde où ça peut aller très haut et très bas donc il faut penser responsable », a-t-elle expliqué lorsque Jordan de Luxe lui a demandé ce qu’elle a fait avec l’argent gagné. « Quand on a de l’argent, c’est vrai que ça donne envie d’acheter de belles choses, mais c’est éphémère tout ça », a-t-elle ajouté. Aujourd’hui, grâce à ce titre, Marlène Duval est propriétaire de douze studios qu’elle met en location et qui sont, aujourd’hui « rentabilisés ».