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Divertissement

« Je partais en sucette », Nicolas Duvauchelle présente l’homme de sa vie, celui qui l’a rendu meilleur

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Avant d’embrasser une brillante carrière dans le cinéma, Nicolas Duvauchelle

a traversé bien des épreuves. Adolescent turbulant, l’acteur désormais âgé de 43 ans a trouvé un moyen efficace de se remettre sur le droit chemin. C’est notamment grâce à la boxe thaï que le compagnon de Chloé Roy a trouvé sa voie. Invité de Laurent Delahousse

sur le plateau de 20h30 le dimanche ce 21 janvier 2024, la star de Cœurs Noirs a longuement évoqué cette activité sportive qui lui a permis de s’en sortir.

« C’est déjà une façon de me canaliser et puis le fait d’aller jusqu’au bout des choses », a-t-il confié. S’il évolue à présent dans un tout autre milieu,
Nicolas Duvauchelle

n’oublie pas ce que la boxe lui a apporté. Il n’a d’ailleurs pas coupé les ponts avec ses anciennes connaissances. « Ça m’arrive de revoir Jean-Charles Skarbowsky, avec qui j’ai commencé, qui est devenu un grand champion », a-t-il lancé avant de parler de son professeur, André Zeitoun, l’homme a qui il doit tout.

« J’avais quitté mes parents, je partais un peu en sucette. Rencontrer cet homme qu’est André, ça m’a recadré. Toute cette énergie négative, j’ai réussi à la transformer en quelque chose de positif et de bon pour moi », a-t-il expliqué. Et de poursuivre : « Je ne savais pas ce que je voulais faire… C’est un peu le cas de pas mal de jeunes et c’est vrai que ça, ça a été une révélation. Après tout a été plus simple. »

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« La boxe thaïe m’a cadré et m’a discipliné »

Ce n’est pas la première fois que Nicolas Duvauchelle revient sur son passé difficile. En août 2008, c’est dans les colonnes du Parisien qu’il évoquait son sport favori. « J’ai commencé la boxe thaïe à 17 ans, après avoir arrêté l’école. J’étais agressif. Je faisais plein de petites bêtises. La boxe thaï m’a cadré et m’a discipliné« . À ce jour, il estime ne pas pouvoir « vivre sans ». « Je rêvais de devenir un champion. J’en rêve toujours ». De touchantes confidences.

V.B

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