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Diego Bunuel (Thalassa) encerclé par « des enfants soldats complètement défoncés à la drogue » : le récit choc de l’animateur

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Lancée en 1975, l’émission Thalassa a longtemps été un succès d’audience pour la chaîne France 3. En 2017, l’emblématique présentateur du programme,
Georges Pernoud annonce son départ

et c’est à partir de cette date que l’on commence à observer un déclin et un manque d’engouement de la part des téléspectateurs.

Après plusieurs changements sur les horaires, le format et le contenu, l’émission qui a signé son grand retour ce vendredi 26 janvier sur la chaîne, s’apprête à connaître un renouveau. À cette occasion, son présentateur, le journaliste franco-américain Diego Buñuel s’est confié sur ce nouveau challenge.  » C’était beaucoup des émissions de plateau et moi, de mon expérience, j’aime le terrain, le contact avec le vrai » a-t-il confié sur le plateau du Buzz TV.

« Au début je n’étais pas sûr. Mais j’ai réfléchi assez rapidement parce qu’en même temps “Thalassa” c’était ma jeunesse, je fais partie de cette génération qui a grandi en regardant le vendredi soir et qui était émerveillé par cette fenêtre sur le monde des océans. On a pris l’ADN mais on a changé la formule… » a-t-il assuré.

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Le journaliste a ensuite évoqué sa carrière et quelques mauvais souvenirs dont un reportage en Libye lors de la révolution de 2011. « C’est le seul pays où j’ai passé cinq jours sur place et où je suis reparti parce qu’on ne pouvait pas travailler […] Il y avait des rebelles dans chaque quartier différent, il fallait des autorisations de chaque groupe rebelle pour passer d’une rue à une autre » a-t-il déclaré.

Il parle ensuite d’une autre situation effrayante au Congo alors qu’il démarrait sa carrière de journaliste. « À un moment donné, j’ai quitté les militaires français et je suis allé moi-même voir un village sans escorte. Je me suis fait encercler par des enfants soldats complètement défoncés à la drogue qui m’ont menacé de me tuer. Heureusement, trois minutes après un véhicule militaire de l’armée française est venu et m’a exfiltré. […] Ce jour-là, c’était typiquement non contrôlé, pas préparé, je me suis dit que ça n’arriverait plus jamais. » s’est-il souvenu.

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ES

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