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« Envie de vomir », Aude, victime de Gérard Miller fond en larmes à la télévision en racontant ce qu’il a fait de son s*xe

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Le 21 février dernier, Le Parisien révélait qu’Aude G avait porté plainte pour viol contre le célèbre psychanalyste Gérard Miller. Un drame sur lequel la victime présumée avait préféré tirer un trait. De ses 17 à 39 ans, cette dernière a entièrement refoulé ce traumatisme.

C’est à l’adolescence qu’Aude G faisait la rencontre de Gérard Miller

. À l’époque, son ambition était de l’interviewer pour le journal de son école. Bien qu’il se soit montré cordial lors de leur premier rendez-vous, le troisième aurait pris une autre tournure.

« Je ne me souviens plus du trajet entre le restaurant et chez lui […]. Je me souviens nettement qu’il me parle de sa pièce japonaise et souhaite me la montrer. Après, tout devient flou… J’ai le souvenir qu’il m’embrasse et c’est très soudain car rien ne laissait présager que cela allait arriver. Je me retrouve sidérée », s’est-elle souvenue dans les colonnes du Parisien.

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« Cette violence m’a submergée d’un seul coup »

Aude G ne se souvient pas avoir été hypnotisée, tout comme elle ne sait pas comment elle a réussi à rentrer chez elle. « Je n’ai que le souvenir qu’il faisait jour, et je vois des pavés… j’ai le sentiment d’être hagard, groggy », a-t-elle confié. « J’ai le souvenir qu’il baisse son pantalon, qu’il sort son s*xe. Il me demande si j’ai déjà couché avec un garçon, je lui dis que non et là il me dit : ‘Je ne serai pas ton premier’. Il me met son s*xe dans la main et le met dans ma bouche. Ce qu’il se passe après, c’est l’amnésie ».

Ce n’est que des années plus tard, avec la sortie du magazine Elle dans lequel plusieurs femmes ont témoigné contre le psychanalyste, que la femme aurait retrouvé ses souvenirs. « À ce moment-là, tout tourbillonne, je me sens mal, j’ai envie de vomir. Ça m’a littéralement sauté au visage, puis j’ai eu besoin de parler, de raconter mon histoire. Cette violence m’a submergée d’un seul coup », a-t-elle expliqué à nos confrères de BFM TV.

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Et de conclure : « En revoyant les 22 années écoulées à l’aune de ce trauma qui a ressurgi, j’ai compris plein de choses que j’avais pu faire : pourquoi j’avais toujours refusé d’avoir un thérapeute homme, pourquoi j’ai toujours été animée par la volonté d’aider les autres… »

Face à ces accusations,
Gérard Miller

est « certain de n’avoir commis aucune infraction ». Il se dit également « prêt à répondre sur chacun des faits reprochés ».

V.B

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