Connect with us

People

« Ce qui m’ennuie… » : Jean-Pierre Pernaut, victime d’effets secondaires avec sa 3e dose, s’agace…

Published

on

Le populaire journaliste et présentateur Jean-Pierre Pernaut a été contraint de recevoir une troisième dose de vaccin contre la Covid-19, s’il ne voulait pas voir son pass sanitaire annulé et être ainsi privé de toute vie sociale. Mais l’ex-star du JT de TF1 a des effets secondaires désagréables et ne cache pas son agacement.

Le gouvernement a prévenu : si vous êtes âgé de plus de 65 ans et que vous ne faites pas une 3e dose de rappel avec un des vaccins reconnus par la France pour lutter contre le coronavirus, alors votre pass sanitaire sera désactivé ! Adieu cinéma, théâtre, restaurant ou voyage en avion… La date butoir est fixée au 15 décembre. Jean-Pierre Pernaut, âgé de 71 ans, a reçu la sienne mais ne cache pas qu’il commence à en avoir marre.

Lire Aussi  "Si je n'avais pas insisté..." : Serge Lama évoque la mort tragique de sa fiancée

Ce lundi 22 novembre, l’ancien roi du JT de 13h était invité sur le plateau de l’émission Les Grandes Gueules et il a évoqué avec son franc-parler sa 3e dose de vaccin. « La première et la deuxième fois, je n’avais pas eu d’effets secondaires, et là, je suis tout fiévreux, frissonnant depuis trois jours. Je suis tout chose. Oui, elle a plus d’effet… Alors elle sera peut-être plus efficace« , a-t-il lâché, un brin ironique. Il est utile de rappeler que si le vaccin n’empêche pas d’être contaminé par le coronavirus, il permet en revanche d’éviter de faire des formes graves et évite ainsi le plus souvent de finir dans un lit de réanimation à l’hôpital. Nul doute que les soignants n’ont plus envie de revivre les débuts dramatiques de la pandémie… Les applaudissements à 20H, ils s’en passeront.

Lire Aussi  Genie Exum arrêtée par la police : le modèle a poignardé son compagnon avec un couteau de cuisine

Jean-Pierre Pernaut n’a pas manqué non plus d’envoyer quelques tacles bien sentis au gouvernement dans sa gestion de la campagne vaccinale – le ministre de la Santé, Olivier Véran appréciera – et ce qui s’apparente à une forme de chantage pour avoir droit à une vie sociale. « Ce qui m’ennuie dans cette histoire, c’est qu’avant, quand on avait fait les deux premières doses, c’était fini. Là, en voilà une troisième. La quatrième c’est quand ? En juin ? La cinquième donc c’est en octobre ? (…) Comme on n’y connait rien, ce serait bien de le dire. On découvre de jour en jour. Les scientifiques découvrent cette maladie de semaine en semaine. Politiquement, cela doit être difficile à gérer« , a-t-il souligné.

Á La Une