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François Berléand : Ce « gène » embarrassant qu’il a transmis à ses filles

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Tel père tel fils ? Oui et non. Dans la famille de François Berléand, ce sont plutôt les filles qui ressemblent à papa. Que ce soit en bien… ou en mal !

Il sera bientôt à l’affiche du film Magnificat, avec Karin Viard, dans le rôle d’un évêque. Mais c’est l’un de ses premiers personnages que François Berléand est venu présenter, en carte blanche, aux fameuses Rencontres cinéma de Cannes. Dans Les âmes câlines, une comédie de Thomas Bardinet qui date de 2001, l’acteur incarnait Jacques, un peintre sans argent doublé d’un incorrigible dragueur. Des traits de caractère qui ne sont pas tellement éloignés de la réalité.

Avant, j’étais un peu comme ça, séducteur baratineur

Marié à trois reprises, père de quatre enfants, François Berléand a effectivement roulé sa bosse. « Avant, j’étais un peu comme ça, séducteur baratineur, assure-t-il dans les colonnes du journal Nice-Matin. Dans un resto, je faisais mine de m’installer à la table voisine d’une jolie jeune fille et je lui demandais ‘je peux’ en faisant mine de prendre une chaise, mais lorsqu’elle disait oui, je m’installais alors dessus pour entamer la conversation ! » C’est une autre facette de sa personnalité, pourtant, qu’il a cédé à certains membres de la famille : sa maladresse légendaire. « Comme lui, je suis un énorme gaffeur, rappelle-t-il. Et j’ai malheureusement transmis le gène à deux de mes filles.« 

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Le comédien de 69 ans n’a, cependant, pas dévoiler de nom. Compagnon de Nicole Garcia pendant douze ans, il est en couple avec l’actrice et romancière Alexia Stresi depuis 2004. Après l’avoir rencontrée sur le tournage du film Promenons-nous dans les bois, il a eu, avec elle, des jumelles, Adèle et Lucie, en décembre 2008. Il est également papa de deux autres enfants, Martin, né en 1979, et Fanny, née en 1983, sans que les branchages de cet arbre généalogique ne soit limpides pour tout le monde. Grand-père depuis 2013, François Berléand veille, désormais, à ce que les gaffeurs ne s’étendent pas sur trois générations…

Retrouvez l’interview de François Berléand dans le journal Nice-Matin du 23 novembre 2021.

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