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‘J’ai eu envie de mourir’ Nabilla Vergara évoque ses rapports houleux avec la presse

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Dans le documentaire de sa vie qui sortira le 26 novembre sur Amazon Prime, Nabilla s’exprime et revient sur ses rapports houleux avec la presse. On vous dévoile les détails !

Nabilla revient sur son arrestation

Il y a peu, Nabilla avait révélé avoir vu le teaser et être « émue » du résultat de son documentaire, bientôt disponible sur Amzon Prime. Très vite, quelques passages de l’émission ont été partagés sur les réseaux sociaux, et notamment celui où l’influenceuse parle de son passé. Pour rappel, Nabilla avait passé un mois en pris*n après avoir poig*nardé son mari Thomas. « J’en parle avec beaucoup de recul car le milieu carcéral, il faut y être allé pour savoir ce que c’est. On a beau le décrire; quand on n’y est pas, on ne peut pas savoir ». Explique-t’elle au journaliste.

Avant d’ajouter : « C’est une période qui m’a fait devenir celle que je suis aujourd’hui. On a que ça à faire de réfléchir et de se remettre en question là-bas. Ça m’a fait évoluer et grandir » Mais si la belle fait parler d’elle aujourd’hui, c’est parce que ses propos sur sa relation avec la presse a très vite fait le tour des réseaux. En effet, il semblerait que Nabilla ait eu des rapports houleux avec les médias pendant plusieurs années.

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Nabilla se livre sur ses rapports avec la presse

« Franchement, à un certain moment, j’en avais marre. Je n’en pouvais plus de cet acharnement. J’ai eu envie de mourir. » Commence-t’elle alors par expliquer. Nabilla admet alors avoir beaucoup souffert de la situation. « Tous les jours, il y avait des nouveaux articles sur moi. Avec de nouvelles rumeurs dégradantes. Je coupais mon téléphone, mais dès que je sortais, je voyais les couvertures des magazines. Dès que j’allumais ma télé, j’entendais mon prénom. On m’inventait une vie, des choses que je n’avais pas faites. »

En effet, certains journalistes malintentionnés auraient tout fait pour la ridiculiser. « Un journaliste de ce magazine a appelé mon père à son travail. Ils ont titré en couverture une chose qu’il n’avait jamais dite. Ils avaient titré « J’ai honte de ma fille ». À 20 ans, voir ça, alors que tu n’as pas vu ton père depuis dix ans, ça t’anéantit. C’est dans ces moments-là que j’ai pensé à mourir… » Explique alors la maman de Milann.

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Mais fort heureusement, aujourd’hui, tout cela est bien derrière elle. « Aujourd’hui, les gens sont hyper bienveillants et respectueux avec moi. Quand je suis en promo, j’aime bien faire le tour des plateaux télé. Ça me permet de donner mon avis sur l’actualité, d’échanger avec des journalistes. » Plus mature et plus consciente du monde dans lequel elle travaille, elle ne se laisse désormais plus faire : « J’ai aussi plus de facilité à remettre les gens à leur place aujourd’hui. J’ai acquis plus d’expérience. À l’époque, j’étais l’agneau dans la bergerie. C’était : « Viens on l’invite et on lui tape dessus… »

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