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Lola Dewaere : Son père Patrick héroïnomane, sa mère « déséquilibrée »… ses douloureux souvenirs d’enfance

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Lola Dewaere est sur France 3 ce soir, avec le téléfilm « Crime dans l’Hérault ». Elle entre dans la peau du personnage Caroline Martinez. La comédienne, qui a vécu une enfance difficile avec le suicide de son père, était revenue sur cette période sombre il y a quelques mois.

Ce vendredi 11 mars, France 3 diffuse le téléfilm Crime dans l’Hérault. Ce dernier avait cartonné lors de la première diffusion en 2019 alors que la comédienne Lola Dewaere avait particulièrement convaincu dans le rôle de Caroline Martinez, aux cotés deFlorence Pernel et Guillaume Cramoisan.

La fille de Patrick Dewaere, l’acteur star des années 1970 qui s’est suicidé d’une balle dans la bouche en 1982, était revenue sur son enfance douloureuse en mai 2021 pour Voici. La comédienne de 42 ans n’avait pas mâché ses mots au moment d’évoqué ces souvenirs. « On ne va pas se mentir, je me suis dit que ça irait plus vite pour moi si je m’appelais Dewaere. Après tout, il me devait bien ça, mon père« , avait-elle déclaré pour expliquer le choix de se faire connaitre sous le nom de l’homme qui l’a abandonné. Pour rien n’arranger, elle confiait que son père était endetté au moment de sa mort : « Il nous a laissé tellement de dettes que la vie n’a pas été facile. »

Le partenaire de son père dans Les valseuses, Gérard Depardieu, n’a pas non plus été d’une aide précieuse pour la jeune femme qui a nié tout lien d’amitié entre son géniteur et l’interprète d’Obelix: « Leur amitié est une légende, ils ne se voyaient jamais en dehors des plateaux. Je pense qu’il y avait de la jalousie, une sorte de concurrence, en tout cas de la part de mon père. »

Regrettant les déboires de son père, l’actrice avait également confié à L’Express, les problèmes de sa mère, Élisabeth Malvina Chalier, qui n’a pas su se relever de la perte de son mari : « Mon père, héroïnomane, l’avait entraînée dans ses addictions, dont elle tentait alors de décrocher. Je la voyais se bourrer de méthadone, des petites pilules roses qu’elle dépiautait chaque matin. […] J’ai aussi compris qu’il n’était pas simple de perdre un mari à 22 ans, de se retrouver criblée de dettes vu que mon père n’avait jamais payé ses impôts, d’être virée de sa maison. » Résignée et meurtrie, la vedette de Peur sur le lac avait conclu : « Je me suis dit, vers 10 ou 11 ans, qu’il ne nous aimait peut-être pas assez, ma mère et moi, pour choisir de s’en aller comme ça. »

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