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Aurore (Pékin Express) enceinte : maladie qui lui fait vivre l’enfer, hospitalisations… elle se confie (EXCLU)

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Aurore est enceinte de son premier enfant, fruit de son union avec Jonathan. Bien qu’elle soit comblée à l’idée d’accueillir son bébé en décembre prochain, l’ancienne candidate de « Pékin Express » n’a pas caché que cette grossesse ne se passe pour l’heure pas sous les meilleurs auspices.

Après sept ans de combat (PMA), Aurore et Jonathan ont annoncé une heureuse nouvelle fin juin. Les deux candidats de Pékin Express 2021 ont dévoilé qu’ils allaient devenir parents pour la première fois. Après s’être confiée sur leur bataille auprès de Purepeople, la belle blonde de 40 ans est revenue sur la maladie qui lui rend la vie dure depuis sa cinquième semaine de grossesse. Elle a également dévoilé des indices sur le prénom de leur bébé et a parlé du soutien indéfectible de son mari.

Comment se passe votre grossesse ?

Le protocole de FIV a été compliqué pour la première fois de ma vie. J’avais toujours bien vécu les injections, les patchs etc., mais cette fois-ci je l’ai très mal vécu. J’étais très fatiguée et j’avais beaucoup de douleurs dans le bas ventre. Et après l’annonce du résultat j’étais hyper bien, en forme. Et je ne sais pas pourquoi, à la 5e semaine, ça s’est dégradé du jour au lendemain. Ça a été l’enfer pendant un mois et demi. On m’a rapidement diagnostiquée de l’hyperémèse gravidique. J’ai un médecin parfait qui connaît bien cette maladie et qui a pu réagir rapidement. Il m’a hospitalisée à domicile pendant trois semaines pour éviter de me retrouver isolée à l’hôpital. J’avais un traitement pour la réhydratation. Je n’ai pas pu manger pendant trois semaines, rien ne passait, je ne pouvais pas boire d’eau. Je restais dans le noir, sans téléphone. Dès que Jonathan rentrait, l’odeur de son parfum m’insupportait. Je ne pouvais pas parler, on communiquait par post-it. C’était compliqué, vraiment. Quand je parle d’enfer, c’est vraiment ça. Il faut absolument que l’on parle de cette maladie qui crée un sentiment d’isolement, alors qu’on est censé vivre la plus belle aventure de notre vie.

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Quelles en sont les conséquences ?

L’isolement et aussi l’impossibilité de travailler. Je suis en arrêt depuis deux mois. C’est très culpabilisant de ne pas travailler alors que j’ai travaillé toute ma vie. La perte de poids aussi. J’ai perdu 7 kilos en deux semaines. Il y a aussi les maux de tête et les vertiges. En plus ce qui était encore plus compliqué, c’est qu’on n’avait annoncé la grossesse à personne. Donc personne ne comprenait ce qu’il se passait. J’ai aussi fait beaucoup d’allers-retours à l’hôpital parce que parfois, mon état malgré l’hospitalisation à domicile, nécessitait de retrouver les urgences en catastrophe. Après, on m’a diagnostiquée une hyperthyroïdie et on m’a donné un traitement pour l’hyperémèse. Un traitement qui me coûte aujourd’hui 40e tous les dix jours parce que ce n’est pas remboursé par la sécu. J’ai la chance d’avoir les moyens de me soigner, mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Ça me met un peu en colère. Ce n’est pas un médicament de confort. Aujourd’hui, si je ne le prends pas, je suis couchée et j’ai des vomissements 20 à 30 fois par jour.

Quel est ce traitement ?

J’ai 4 comprimés par jour à prendre, en plus de comprimés de gingembre qui sont du confort pour le coup, pour éviter les nausées et les vomissements. J’ai vraiment des vomissements et je veux faire comprendre que c’est complètement différent de ce qu’on peut appeler les nausées matinales de la grossesse.

Les vomissements se poursuivent-ils malgré le traitement ?

Oui malgré le traitement c’est un peu compliqué aujourd’hui. J’ai revu mon médecin et je dois prendre du Gaviscon en plus. A force de vomir, on a l’oesophage en feu donc on ne supporte plus rien. J’essaie de tenir avec ça pour le moment.

Cette maladie dure-t-elle durant toute la grossesse ?

Ca peut s’arrêter avant. Certaines femmes ont le bonheur d’être libérées à partir des trois mois. Ce n’est pas encore mon cas donc j’attends mon jour. J’espère que ça arrivera avant l’accouchement.

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Comment vivez-vous le fait que votre corps change ?

Pour l’instant, mon corps a surtout souffert de la perte des 7 kilos donc je ne le vois pas trop changer. Je rentre encore dans mes jeans, même si je sens que ça commence à serrer. Je ne vois pas encore le corps changer. Jonathan me dit que c’est le cas mais peut-être que moi, je médicalise encore les choses et j’ai du mal à lâcher prise peut-être. J’espère un jour avoir un ventre énorme. Mais pas trop parce qu’après, il faut perdre le poids et ça aussi ça me fait peur. J’ai un mari hyper sportif et très musclé, donc j’essaie de m’entretenir pour moi, pour lui, pour être en bonne santé. Donc j’appréhende un peu tout ça. Et dans le même temps, j’ai tellement hâte de sentir les premiers coups de bébé et les premières sensations. Donc j’ai hâte de changer un peu.

Jonathan vous rassure-t-il ?

C’est la perle des maris. Il est au top pour tout. Il assure à la maison, il gère toutes mes envies alimentaires. Et concernant mon corps, il me dit que de toute façon il me reprendra en main après. Peut-être que ce que j’appréhende le plus, c’est l’après avec Jonathan (rires).

Connaissez-vous le s*xe du bébé ?

On saura dans quelques jours, si la petite crevette est décidée à nous le montrer. Je pense qu’on l’annoncera, mais pas tout de suite. On ne fera pas de grande fête pour ça. Je suis tellement superstitieuse que je ferai une grande fête comme on peut en voir quand je l’aurai dans les bras.

Avez vous des idées de prénoms ?

On a quelques idées. L’avantage de la PMA nous permet de prévoir plein de choses, dont les prénoms. On va garder ça secret mais on a envie d’avoir un prénom pas très long et plein de sens pour nous. Tout le monde nous dit qu’on l’appellera Victoire ou Désirée. On peut déjà vous dire que ce ne sera aucun des deux (rires).

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L’accouchement vous fait-il peur ?

Pour le moment je n’y pense pas. Je pense surtout aux échographies. Ça ne me fait pas peur. Mais je sais que je ne vais pas accoucher comme ma grand-mère dans la souffrance et la douleur. J’ai déjà souffert les trois premiers mois donc si on me propose la péridurale maintenant, je serais à deux doigts de la prendre. J’ai un peu peur que Jonathan fasse un malaise. Quand on est suivi à l’hôpital, ça l’angoisse. Donc je me dis que ça risque d’être plus difficile pour lui que pour moi (rires). Je vais prévoir quelques douceurs sucrées pour lui au cas où.

Comment le futur papa vit votre grossesse ?

Il se renseigne beaucoup. Depuis quelques semaines, je le surprends à regarder des sites de chambre pour enfant ou des sites de vêtements. Il me dit qu’il faut qu’on cherche une nounou. Il est complètement investi dans son rôle.

Comptez-vous dévoiler le visage votre bébé après sa naissance ?

Je pense qu’on va le préserver. Peut-être montrer son corps, mais sa bouille on va la garder pour nous. On va être égoïste sur ce coup-là.

Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention de Purepeople.com

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