« Une pensée pour ceux qui avaient investi dans Aladin et Alad’2 », dans « Telematin », Kev Adams se fait torpiller après l’affaire des NFT, Julia Vignali obligée de prendre sa défense !

Gros bad buzz pour Kev Adams. Le 23 avril dernier, Mediapart publiait une longue enquête visant l’humoriste et un projet de film d’animation en financement participatif nommé Plush. Selon nos confrères, plus de 700 personnes auraient investi dans ce dessin animé dont la réalisation est au point mort. Une sombre affaire qui entache la réputation du comédien de 31 ans. Si ce dernier a tenté de se défendre, les critiques continuent de pleuvoir. Ce lundi 1er mai 2023, Alex Vizorek s’en prenait d’ailleurs violemment à l’acolyte de Camille Lellouche sur le plateau de Télématin.

« Apparemment, 700 investisseurs ont perdu plus d’un million d’euros en investissant dans des NFT pour financer un film promu par Kev Adams », a-t-il lancé dans sa chronique avant d’ajouter : « Le film ne se fera jamais ». Et de poursuivre un brin taquin : « Alors oui, c’est terrible, mais je voudrais surtout avoir une pensée pour ceux qui ont souffert encore plus, une pensée pour ceux qui avaient investi dans Aladin et Alad2 avec Kev Adams. Là, le film s’est fait et je trouve ça assez difficile ». Une remarque assez « dure », selon Julia Vignali.

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« Le cerveau d’une arnaque »

Pour rappel, Kev Adams avait pris ses réseaux sociaux au lendemain de ces révélations afin de se défendre. « Les amis, je n’ai pas l’habitude de répondre aux polémiques. Mais là, vu l’ampleur, il me paraît important de mettre les choses au clair », écrivait-il dans un communiqué publié sur son compte Twitter le 24 avril dernier. « J’ai été contacté en 2021 au sujet d’un projet de long métrage d’animation participatif », indiquait-il tout en expliquant être, lui aussi, une victime dans cette affaire.

Sous le charme d’un concept « nouveau, moderne et cool », Kev Adams devait prêter sa voix à l’un des personnages du film d’animation. Ce n’est qu’après s’être assuré du sérieux du projet qu’il avait accepté d’en faire la promotion. Malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu. « Je me suis moi-même engagé pour rien », assure l’humoriste. « Je précise que de mon côté, il n’y a eu aucune rémunération. Le principe pour moi était d’être rémunéré uniquement si le film se faisait. Je regrette que des personnes se sentent aujourd’hui lésées ou trahies ». Il affirme également ne pas être le « cerveau d’une opération ou d’une arnaque quelconque » et regrette d’être « au cœur d’une polémique qui remet en cause [son] intégrité et [son] honnêteté vis-à-vis de [son] public ».

V.B

« Un homme met le feu à son appartement en voulant ouvrir un paquet de chips avec son briquet » C’est la revue de presse d’@alexvizorek ! pic.twitter.com/G1LL95dJ3e

— Telematin (@telematin) May 1, 2023