« Le Maroc n’a pas de leçons à recevoir », Jamel Debbouze pousse un petit coup de gueule en réponse aux récentes polémiques !

Le bilan s’élève actuellement à 2 681 morts et 2 501 blessés, malheureusement, les chiffres ne sont pas encore définitifs et pourraient encore augmenter. Ces pertes sont le résultat de la tragédie qui a frappé le Maroc il y a quelques jours. En effet, dans la nuit de vendredi à samedi, le pays a été secoué par un séisme d’une magnitude de 6,8 sur l’échelle de Richter.

Depuis, le monde entier se mobilise pour tenter d’aider les Marocains et les nombreuses victimes, à commencer par certaines personnalités comme Gad Elmaleh, Elie Semoun, et Jamel Debbouze. Le compagnon de Mélissa Theuriau a justement été interviewé par BFMTV ce lundi 11 septembre 2023 pour évoquer la situation du pays, quelques jours seulement après le drame. S’il se dit fier du courage des Marocains, il n’a pas manqué de pousser un coup de gueule sur un point précis.

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Jamel Debbouze au Maroc, son coup de gueule ciblé

« Le pays fait ce qu’il a à faire soit sauver des vies et les polémiques à ce sujet sont déplacées », a-t-il confié à nos confrères, avant de préciser : « On a vu comment le pays a géré la crise de la Covid, il a été l’un des premiers pays à distribuer des masques et à vacciner sa population. Le Maroc n’a pas beaucoup de leçons à recevoir dans ce domaine, mais toutes les aides sont les bienvenues. »

Après son coup de gueule, le père de deux enfants a rappelé son rôle dans cette tragédie, ainsi que celui de tous les autres artistes qui se mobilisent. « Nous, les artistes, avons pour rôle de sensibiliser à la solidarité », a-t-il confié au micro de BFMTV, avant de préciser : « Et il n’est même pas nécessaire de le dire, sur place, nous avons constaté un élan de solidarité incroyable. »

La solidarité est telle que des habitants du monde entier viennent apporter leur aide. Selon Jamel Debbouze, des « personnes de toutes les origines, des touristes uruguayens, des Espagnols, des Français, des Chinois » seraient présentes pour aider. Cet élan de solidarité rassure, mais l’humoriste redoute qu’il ne s’estompe dans une semaine, lorsque « tout le monde passera à autre chose », alors qu’il faudra « des années pour que la vie reprenne son cours dans certains villages ».

R.F