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Claude Guéant sort de prison… en toute discrétion !

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Claude Guéant, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, a pu quitter ce 9 février 2022 la prison de la Santé. L’avant-veille, la juge avait décidé d’autoriser la remise en liberté du haut-fonctionnaire impliqué dans l’affaire des primes en liquide.

Après deux mois d’incarcération, l’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant a quitté mercredi matin 8 février 2022 la prison de la Santé, a confirmé à l’AFP son avocat, Philippe Bouchez El Ghozi. L’ancien locataire de la place Beauvau est sorti peu après 8h30 en toute discrétion de la prison parisienne à bord d’une voiture aux vitres teintés, ont constaté des journalistes de l’AFP. C’est lundi 7 février que la juge a décidé d’autoriser la remise en liberté (qui lui avait été refusé avant Noël) de l’ancien grand commis de l’État, sans bracelet électronique.

Claude Guéant, 77 ans, avait été placé en détention le 13 décembre, pour ne pas s’être acquitté dans les temps de l’amende et des dommages et intérêts qu’il avait été condamné à payer dans l’affaire des « primes en liquide » du ministère de l’Intérieur. Il avait bénéficié lundi d’une mesure de libération conditionnelle, dans le cadre d’un aménagement de sa peine qu’il réclamait.

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A l’appui de sa demande d’aménagement de peine, son avocat avait fait valoir que son client avait « totalement payé » sa dette au Trésor public via des prêts consentis par ses proches et qu’en prison, sa « situation de santé [ne pouvait] que se dégrader, au regard de la triple pathologie » dont il souffre.

Condamné le 21 janvier en son absence dans un autre dossier, celui des sondages de l’Elysée, ce père de deux enfants – Marie-Sophie et François -, qu’il a eue avec Rose-Marie Benoist, s’est vu infliger un an d’emprisonnement, dont huit mois ferme, pour favoritisme, avec un mandat de dépôt différé. Il ne retournera cependant pas en prison pour cette dernière peine : il a en effet fait appel, ce qui suspend l’application de cette sanction jusqu’à un deuxième procès. Dans le cadre de cette affaire, il avait été condamné à un an d’emprisonnement dont huit mois ferme pour favoritisme, avec un mandat de dépôt différé.

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