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Stéphane Bern : Images de sa maison très particulière pour laquelle il s’est ruiné !

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L’histoire des hommes et celles des pierres, Stéphane Bern les aime passionément à l’écran comme à la vie. Il a d’ailleurs fait l’acquisition, en 2013, d’un domaine relativement défraîchi.

Le patrimoine, vous le savez, c’est son dada ! Et c’est tout naturellement que Stéphane Bern a eu un coup de coeur immobilier immense le jour où il a croisé cette superbe bâtisse de Thiron-Gardais, dans l’Eure-et-Loir. L’objet de sa convoitise ? L’ancien collège royal et militaire situé au coeur de ce village percheron de 1000 habitants. Et pour l’obtenir, il a fallu que le présentateur de l’Eurovision joue des coudes et qu’il aligne les « zéro » sur le chéquier.

C’est son dossier qui a été retenu alors que deux autres candidats souhaitaient acquérir le collège de Thiron-Gardais. La condition ? Que Stéphane Berne s’engage à restaurer les lieux et à créer un musée, entre ses quatre murs, dans les anciennes salles de classe. Il a donc déboursé 300 000€ pour devenir propriétaire, en 2013… et 4 millions d’euros pour la restauration, l’obligeant à hypothéquer son appartement parisien, dans le quartier de Pigalle, à vendre son mobilier et a emprunter sur 25 ans !

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« Si je suis très objectif avec moi-même, je suis ruiné, mais fier, explique-t-il. Fier d’avoir fait travailler une centaine d’artisans de métiers d’art, fier d’avoir sauvé ce lieu d’Histoire, fier qu’il se visite. J’adore le faire visiter ! » Durant l’été 2016, Stéphane Bern a quelque peu rentabilisé son achat en recevant près de 12 000 visiteurs. Il a finalement décidé de s’y installer, lui-même, à la suite des différents inconvénients survenus en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19.

« C’est à la fois un ras-le-bol et un soulagement« , racontait-il au journal Le Figaro. Ras-le-bol de voir la capitale « perdre de sa superbe » et soulagement de se « poser à la campagne, sans stress« . « J’ai eu une prise de conscience pendant les deux confinements, avouait alors le compagnon de Yori Bailleres. L’effervescence autour de Paris est vaine. J’ai besoin d’un confort de vie. » Une chose est sûre : il a peut-être dû verser près de 4,5 millions de dollars pour que l’ancien collège royal et militaire de Thiron-Gardais soit habitable, mais il ne regrette, en rien, sa décision.

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