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Sheila : Grand-mère protectrice avec sa petite-fille Tara Rose, qu’elle a « découverte sur le tard »

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C’est une jeune femme dont on ne connaît presque rien, la petite-fille d’une grande idole qui reste éloignée au maximum du tourbillon médiatique : à 21 ans, Tara-Rose Chancel, la petite fille de la chanteuse Sheila est plus discrète que jamais. Loin des fans de sa grand-mère, loin des démons qui lui ont enlevé son père à seulement 16 ans, celle-ci profite de son anonymat. Mais reste en contact avec la chanteuse, qui a fait de rares confidences sur le sujet…

Alors qu’elle s’approche doucement de ses 60 ans de carrière, Sheila fait partie des chanteuses iconiques en France. Avec des tubes intergénérationnels (Les rois mages, L’école est finie…), la septuagénaire dont le vrai nom est Annie Chancel n’a jamais flanché et est restée sur le devant de la scène pendant toutes ses années.

Ne voulant pas entendre parler de retraite, la chanteuse trouve tout de même du temps pour sa famille et notamment pour sa petite fille Tara-Rose, sur qui elle a fait de tendres confidences dans le nouveau du magazine Gala. Reconnaissant qu’elle a « découvert sur le tard » cette jeune fille, dont le papa était Ludovic, son fils unique (décédé en 2017), la septuagénaire a cependant expliqué qu’elles se voyaient de temps en temps.

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« Je suis en relation avec elle, mais je n’en parle pas. Elle est heureuse dans sa vie, elle est majeure. Elle fait ce qu’elle veut. Tant que je pourrais la préserver et la protéger, je le ferai« , explique-t-elle, ajoutant qu’elle-même ne s’était sûrement pas assez protégée au début de sa carrière. Une protection importante pour une jeune fille qu’elle veut sans doute empêcher de tomber dans les mêmes démons que ceux qui ont tourmenté son fils, mort à 42 ans d’une overdose.

Une mort qui l’a traumatisée et dont elle ne se « remet pas« , malgré un travail avec un psychologue. « Bien sûr, j’ai longtemps cherché où était mon erreur. J’ai alors demandé à un médecin ce que je pouvais faire pour l’aider. Il m’a expliqué que je ne pouvais rien faire. Que j’avais fait mon travail en l’élevant jusqu’à l’âge de 20 ans et que je n’étais plus responsable de ses actes, de ses fréquentations. Mon fils a fait ses choix, il a vécu sa vie, explique-t-elle au magazine. La mienne est de vivre avec tout ça, même si c’est insupportable. […] Alors, je vais fleurir sa tombe, et je pense à lui tout le temps.« 

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La musique lui permet malgré tout de continuer à aller de l’avant…

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