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Pascal Praud fracasse Léa Salamé et l’accuse de « complicité » dans l’affaire qui oppose C8 et Hanouna à la ministre Rima Abdul Malak !

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La ministre de la Culture se doutait bien qu’une telle déclaration allait faire réagir. En effet, Rima Abdul Malak a été invitée par Léa Salamé sur France Inter ce jeudi 9 février. L’occasion pour elle d’évoquer l’affaire Louis Boyard/Cyril Hanouna et la sanction infligée par l’Arcom à la chaîne C8. Une sanction faisant suite à l’énorme clash entre le député et l’animateur de TPMP le 10 novembre 2022. En évoquant cette affaire, la ministre de la Culture en a aussi profité pour menacer, à demi-mot, les chaînes CNEWS et C8.

« Je suis dans mon rôle quand je rappelle le cadre existant. Il y a des chaînes qui ont des fréquences gratuites en échange de certaines obligations qu’elles doivent respecter », a-t-elle d’abord rappelé en faisant référence aux chaînes citées et Cyril Hanouna, avant de préciser : « Ces obligations, il suffit de les lire. Elles sont dans la loi. Elles sont très claires. Parmi elles, il y a le respect du pluralisme, le fait de traiter les affaires judiciaires avec mesure, le fait de créer un débat contradictoire avec l’ensemble des points de vue pouvant porter à controverse ». Par la suite, Rima Abdul Malak a rappelé que l’Arcom a pour rôle de faire « le bilan de ces obligations ». Ainsi, elle doit « vérifier qu’elles ont bien été respectées, pour pouvoir évaluer si la reconduction de la fréquence est justifiée ou pas ».

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L’occasion pour Léa Salamé de réagir : « C8 et CNews pourraient perdre leur fréquence ? ». « Il y a des obligations à respecter ! Il y a déjà eu une vingtaine d’interventions de l’Arcom depuis 2019 pour C8 et CNews. Au bout de combien d’interventions l’Arcom pourra dire, à tel degré, que les obligations ne sont pas respectées ? », a répondu la ministre, pour faire comprendre que les chaînes en question devaient peut-être changer leur manière de fonctionner. Ce vendredi 10 février, dans L’heure des pros, Pascal Praud a donc souhaité réagir à ces déclarations. Mais surtout, accuser Léa Salamé d’être « complice » des « menaces » proférées.

Pascal Praud, déçu de la manière d’interviewer de Léa Salamé

« Disons-le ! Nos amis intervieweurs (Léa Salamé et Nicolas Demorand : ndlr) sont complices de cela (risques que C8 et CNEWS perdent leur fréquence : ndlr) ! », a-t-il lâché avant d’ajouter, pour appuyer ses arguments : « On n’interroge pas sur France Inter madame Abdul Malak comme on interroge manifestement d’autres personnalités, que je ne citerai pas ». Pour Pascal Praud, le regard critique, « on le garde pour soi ». Une manière de faire comprendre qu’il ne validait pas du tout la manière dont Léa Salamé a interrogé Rima Abdul Malak.

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