« Tu peux toucher mes s*ins », Jade, la fille de Johnny Hallyday, dégaine un drôle de t-shirt !

La célébrité n’est pas toujours facile à gérer… et ce n’est pas
Jade Hallyday

qui dira le contraire. Régulièrement, la fille de
Laeticia

et
Johnny Hallyday

est visée par des critiques désobligeantes. Malgré les commentaires virulents qu’elle reçoit quotidiennement, la jeune femme qui vient tout juste d’être diplômée du lycée français de Los Angeles, ne se laisse pas abattre. Préférant ignorer la malveillance des autres, l’étudiante poursuit sa route comme si de rien n’était. Ce vendredi 22 septembre 2023, elle s’emparait d’ailleurs de ses réseaux sociaux afin de partager la story d’une certaine Nina dans laquelle elle apparaît avec un drôle de t-shirt. « Désolé que tu aies passé une mauvaise journée, tu peux toucher mes s*ins si tu veux », peut-on lire sur le vêtement bleu et blanc. Un message qui risque de faire jaser.

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Joy Hallyday lynchée par Kelly Vedovelli

Jade Hallyday n’est malheureusement pas la seule à subir le courroux des internautes. Comme elle, sa sœur Joy est aussi pointée du doigt pour son contenu Instagram jugé « osé » par certains. En février dernier,
Kelly Vedovelli, chroniqueuse emblématique de l’émission Touche pas à mon poste, n’avait d’ailleurs pas mâché ses mots concernant l’adolescente

. « Pour moi, c’est hyper vulgaire avec sa langue, sa bouche, ses nichons… Je trouve ça d’une extrême violence physique et psychologique, ça ne va pas du tout », avait-elle lâché sur le plateau. Des propos qui avaient poussé la maman de cette dernière à
porter plainte

.

Dans une interview accordée à Sud Info peut de temps après les faits, Laeticia Hallyday s’était exprimée sur les déclarations de la jolie blonde et n’avait pas hésité à sortir les griffes pour défendre sa progéniture. « Il y a des choses qui sont intolérables. La société est dans le jugement. Il y a beaucoup de haine qui s’est installée après le Covid. Il faut protéger nos enfants de ça. Et malheureusement, ils sont victimes aussi des réseaux sociaux, parce que c’est leur génération. Ce n’est plus la même génération que la nôtre, il y a des codes qu’on ne comprend pas tout le temps. Mais ce que Joy a vécu, à 14 ans, c’est d’une telle violence ! C’est mon devoir de maman de protéger mon enfant, de la protéger de toute cette injustice, c’est intolérable », avait-elle expliqué en colère. Ambiance…

V.B