Catherine Lara a failli mourir à l’âge de 3 ans, ses souvenirs de « ponctions lombaires » la hantent toujours

Chaque dimanche, Frédéric Lopez convie trois célébrités à la campagne, pour un weekend convivial empli de confidences et de bonne humeur. Un dimanche à la campagne propose depuis plus d’un an à trois célébrités de cohabiter ensemble le temps d’un petit séjour aux côtés de Frédéric Lopez, et ce dimanche 3 décembre 2023, ce sont la chanteuse Catherine Lara, le comédien Philippe Lellouche et l’animateur Cyril Féraud qui ont accepté de jouer le jeu. Les trois convives de Frédéric Lopez ont fait de belles confidences sur leurs vies personnelles respectives, et la chanteuse de 78 ans a notamment révélé avoir frôlé à la mort dès l’âge de 3 ans, après avoir contracté une maladie infantile très grave, que les médecins n’ont jamais su diagnostiquer.

« C’était une maladie un peu bizarre. J’ai eu une paralysie infantile. C’était très très douloureux. J’ai encore des souvenirs de ponctions lombaires, de plein de choses difficiles. Entre 3 et 4 ans, je ne marche pas, on ne peut pas m’attraper parce que ça me fait souffrir. Je ne suis pas loin de la mort«  a expliqué la chanteuse et violoniste. Une maladie brutale, paralysante, violente, potentiellement mortelle, qui est arrivée avec fuguer, et qui est repartie aussi vite, sans que la famille ni les médecins autour de Catherine Lara puissent comprendre le mal qui l’avait rongée.

Guérie miraculeusement, un beau matin d’hiver

« Une nuit, mes parents sont réveillés par le son des cloches. Il n’y avait absolument pas de cloches autour de chez nous, mais ils en entendent tous les deux. Avec une espèce de son qui rayonnait autour d’eux. Et le lendemain matin, j’étais guérie, c’était fini«  a expliqué celle à qui l’on doit de célèbres tubes de la chanson française comme Nuit magique, La rockeuse de diamants et La craie dans l’encrier. Il faut dire qu’à l’époque, les mesures de diagnostics qui étaient adonnées aux médecins étaient bien moins avancées qu’aujourd’hui, mais une chose est certaine : les ponctions lombaires restent aujourd’hui encore toujours aussi douloureuses et traumatisantes !