Kate Middleton hospitalisée : l’Hyperemesis Gravidarum, cette maladie qui lui avait gâché ses grossesses…

Elle est sportive et peut être une véritable pile électrique, quand il s’agit de remporter un défi. C’est la raison pour laquelle la nouvelle
de l’hospitalisation de Kate Middleton

, en ce début d’année 2024, a surpris bien des observateurs de la royauté. La princesse de Galles a subi « une opération abdominale prévue », dans une clinique de Londres, comme l’explique un communiqué de Kensington Palace.

Elle n’avait pas pris un si long congé depuis ses grossesses

Rien à signaler, tout s’est bien passé, mais elle devra garder le lit pendant « 10 à 14 jours« , annonce cette même source, qui assure qu’elle ne pourra probablement pas revenir à la vie publique avant Pâques. Bonne élève de la famille royale, sur tous les fronts, la dernière fois que Kate Middleton a pris un congé si long (deux mois et demi de convalescence), c’était pendant ses grossesses.

En 2012, enceinte de son premier enfant, George, Kate Middleton avait été hospitalisée à l’hôpital King Edward VII dans le centre de Londres. Atteinte d’
Hyperemesis Gravidarum

, elle avait alors annulé tous ses engagements officiels pour prendre du repos. Même chose quand elle
attendait Charlotte, en 2014, puis Louis, en 2017

.

L’hyperémèse gravidique

Mais qu’est-ce que
l’hyperémèse gravidique

, dont souffre la femme du prince William ? Eh bien comme la plupart des femmes au début de leur grossesse, Kate Middleton souffre de nausées et de vomissements. Toutefois, Kate Middleton fait partie des 3 % des femmes enceintes qui ont des crises beaucoup plus violentes. Ses nausées et ses vomissements sont beaucoup plus graves et peuvent mettre en danger la vie de la maman et du bébé. Pertes de poids, déshydratation, hallucinations, vertiges, dommages au foie et aux reins, tels sont les risques encourus par celles qui souffrent de cette maladie hormonale.

F.A