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Dany Boon hypocondriaque : sa compagne Laurence Arné balance sur leur quotidien

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Dany Boon et sa compagne Laurence Arné sont invités dans « C à Vous » pour faire la promotion de leur film « 8 rue de l’Humanité », qui traite du confinement. Le couple a fait des confidences sur leurs moments difficiles durant la pandémie de Covid-19.

Dur dur de vivre avec un hypocondriaque, surtout durant la pandémie de Covid-19. Invités sur le plateau de C à Vous ce mardi 19 octobre, Dany Boon et Laurence Arné, sa partenaire à la ville comme à l’écran, sont venus présenter leur nouveau long-métrage 8 rue de l’Humanité. Une comédie que le couple a écrit durant le confinement. Durant l’émission, la comédienne de 39 ans a confié quelques petites anecdotes sur son compagnon, qui est un vrai hypocondriaque et qui a été pris de panique durant les différents confinements.

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Face à Anne-Elisabeth Lemoine, Laurence Arné a fait part de son calvaire quotidien, avec un Dany Boon qui prenait sa température plus de dix fois par jour. « On se désinfectait avec du vinaigre blanc, ça sentait très fort à la maison », a indiqué la comédienne, qui a déjà partagé l’affiche avec son compagne dans La Ch’tite famille. « On javélisait nos courses durant quelques jours parce qu’on a eu peur, comme tout le monde », a affirmé la quadragénaire.

Et Dany Boon d’ajouter, comme pour justifier ses petites habitudes : « On avait en continue les infos et ils inventaient des trucs nouveaux, parce qu’il fallait bien qu’ils alimentent l’antenne. Et donc on calculait ‘alors sur le bois, le virus tient 4 heures, sur le plastique pendant 6 heures…’ C’était terrible, on comptait les heures en fonction des matières ».

« Tout ça pour rien, vu que vous avez chopé la Covid », fait remarquer l’animatrice. « Oui au deuxième confinement, juste avant le tournage », explique l’acteur de 54 ans. « J’ai acheté un oxymètre et j’avais 85% d’oxygène donc j’ai appelé mon médecin en panique, qui m’a dit que je l’avais mal mis ». « Ce qui était dangereux, c’est qu’on ne sentait plus rien. On prenait nos petits déjeuners dans un nuage de tartines grillées, on ne se voyait presque plus », a plaisanté Laurence Arné, qui a également été malade. « Moi j’ai retenu que les bons trucs : j’ai vu qu’il fallait boire du champagne pour contrer le virus donc je l’ai fait boire », a lancé Laurence Arné avec humour.

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