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Frank Leboeuf ému aux larmes face à des images de son père décédé : « J’avais oublié sa voix »

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Invité de Laurent Ruquier sur le plateau de l’émission « Les enfants de la télé », Frank Leboeuf a vécu de sacrées émotions. En revoyant son père, décédé en 2004, l’ancien champion du monde n’a pu retenir son émotion.

L’émission Les enfants de la télé réserve souvent son lot de séquences chargées en émotions et dimanche 24 octobre, c’est l’ancien footballeur Frank Leboeuf qui s’est retrouvé au bord des larmes face à des images d’archive. L’homme de théâtre de 53 ans est bien connu pour avoir fait partie de la magnifique épopée des Bleus de 1998. Remplaçant jusqu’à la finale, il a la chance de la disputer suite au carton rouge reçu par Laurent Blanc en demi-finale. Une aubaine pour le natif de Marseille qui ne laisse pas passer sa chance et entre dans le coeur des Français à tout jamais.

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Père de la célèbre Jade, Frank Leboeuf est issu d’une famille originaire de Normandie et son père a beaucoup compté pour lui. Alors que Laurent Ruquier revient sur la fameuse finale face au Brésil, il décide de passer un reportage réalisé lors de cette finale et dans lequel on peut voir sa famille et notamment son père. Après avoir entendu ce dernier parler de lui, le compagnon de Chrislaure a du mal à retenir ses larmes. « Mon papa est parti en 2004 et j’avais oublié sa voix… C’est un peu un coup de poignard là que je viens de prendre », indique-t-il pour expliquer sa vive émotion.

Il a fallu que je sois champion du monde à 30 ans pour qu’il me dise qu’il était fier de moi

Présent sur les réseaux sociaux et n’hésitant pas à partager des moments de vie ou des pensées, Frank Leboeuf n’avait jamais trop parlé de ce père parti il y a presque 17 ans et qui a joué un rôle important dans son développement. « Mon papa est quelqu’un de très, très dur, mais je pense que je n’aurais pas été à ce niveau là s’il n’avait pas été aussi dur donc c’est complexe », analyse-t-il aujourd’hui. Un père dont il a longtemps cherché l’approbation avant ce fameux soir de juillet 98. « Il a fallu que je sois champion du monde à 30 ans pour qu’il me dise qu’il était fier de moi donc c’est touchant », déclare-t-il pour clore cette belle séquence émotion.

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