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Coluche « tombé dans la défonce » : terrible témoignage d’un grand ami…

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Gérard Lanvin et Coluche ont longtemps été comme les deux doigts de la main. Ils ont même vécu ensemble pendant sept ans… mais un petit souci a fini par les séparer.

Il y a des amitiés qui marquent une vie. Dans les années 1970, le destin réunissait deux hommes : Coluche choisissait Gérard Lanvin pour jouer dans son film Vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine… pour ne plus jamais le quitter. Ou presque. A la suite de cette collaboration, le comédien s’installait carrément chez son collègue et son épouse, Véronique Colucci, pour continuer le travail, conduire, faire le tour du pays, écrire des sketch. Une expérience « magnifique » qu’il a accepté d’évoquer avec Nathalie Lévy sur le plateau de l’émission En Aparté, le lundi 4 avril 2022, sur Canal+.

On vivait tous ensemble dans cette maison de la rue Gazan

« Avec Michel c’était très fort, il y avait plus que de l’amitié, a expliqué Gérard Lanvin. On était comme deux frères, quoi. J’ai vu Marius naître [le second fils de Coluche, NDLR.]. Avec Véronique, on vivait tous ensemble dans cette maison de la rue Gazan. J’ai connu de grands moments, dans cette maison. J’ouvrais la porte à Mick Jagger, ou à Jack Nicholson. J’ai bien connu Wolinski, Reiser et Choron. Aujourd’hui, c’est déprimant de ne plus avoir ces amis-là… » Cette collocation artistique a finalement pris fin au bout de sept ans, Gérard Lanvin fuyant les terribles addictions de Coluche.

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Ce n’était plus mon histoire

« J’ai dû partir parce qu’à un moment il est tombé dans la défonce et c’était plus mon histoire« , a-t-il relevé. C’est finalement un « putain de camion » qui aura séparé leurs chemins pour toujours. Le 19 juin 1986, Coluche a enfourché sa Honda 1100 VFC pour se rendre à Opio, depuis Cannes, et est décédé dans un accident de la route. Une tragédie qui hante toujours l’homme qui conduisait dans ce virage. « Je ne l’ai pas vu, il a débouché. Je l’ai vu quand il a tapé là, se souvenait Albert Ardisson dans son témoignage. Qu’est-ce-que vous voulez que je vous dise d’autre ? Il allait vite, très vite. Je ne peux rien vous dire d’autre. C’est malheureux, qu’est-ce-que vous voulez que je vous dise…« 

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