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Des chiffres et des lettres : France Télévisions réplique après les attaques de Bertrand Renard et Arielle Boulin-Prat

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La guerre semble déclarée entre France Télévisions et les stars déchues de « Des chiffres et des lettres », Bertrand Renard et Arielle Boulin-Prat. Après les lourdes accusations faites par ces derniers, le groupe a décidé de répliquer. Explications…

« C’est inacceptable humainement avant de l’être juridiquement« , ont clamé Bertrand Renard, spécialiste des chiffres depuis 1975, et Arielle Boulin-Prat, pro des lettres présente depuis 1986 dans un communiqué de presse. Il est question de la façon dont France Télévisions a choisi de les écarté du programme Des Chiffres et des lettres. Mais voilà que le groupe vient de riposter.

Alors que le célèbre jeu qui existe depuis 51 ans sous ce nom – avant l’émission n’incluait pas les chiffres et se nommait Le Mot le plus long – va être diffusé plus que deux fois par semaine à 17H15 le samedi et le dimanche, ses arbitres emblématiques ont été virés. Selon eux, ce n’est pas un désaccord contractuel, contrairement à ce qu’a annoncé le groupe France Télévisions, qui serait à l’origine de leur éviction. Du moins, c’est plus compliqué que cela. Ainsi ont-ils révélé que le groupe aurait exigé une baisse de leur salaire de l’ordre de 60% et qu’il a été refusé de leur accorder un CDI alors qu’ils sont en CDD depuis 36 ans pour Arielle, et 47 ans pour Bertrand (l’identité de son remplaçant vient d’être dévoilée).

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De lourdes accusations. France Télévisions a donc décidé de réagir avec un communiqué de presse. « Madame Arielle Boulin-Prat et Monsieur Bertrand Renard, animateurs de cette émission engagés en CDD d’usage, ont refusé de poursuivre leur collaboration dans les nouvelles conditions qui leur étaient proposées« , est-il précisé. Malgré de « nombreux échanges » qui ont eu lieu « dès le mois de juin« , aucun accord n’a été trouvé concernant leur situation. « Il leur a été proposé une augmentation de leur cachet pour compenser une part significative de la baisse du nombre d’émissions. Madame Boulin-Prat et Monsieur Renard l’ont refusée« , est-il ensuite écrit. En effet, ce n’est plus 5 numéros mais 2 qui seront diffusés par semaine.

Concernant le communiqué du duo évoquant les CDD, France Télévisions réplique également : « En tant qu’animateurs, Madame Arielle Boulin-Prat et Monsieur Bertrand Renard ont été engagés dans le cadre de contrats à durée déterminée d’usage, conformément aux articles L1242-2 et D1242-1 du Code du travail et à l’accord national professionnel du 22 décembre 2006 conclu au sein de la branche de la télédiffusion. Le recours à ce type de contrats est autorisé et pratiqué par l’ensemble de la profession. Cela tient au fait que la reconduction d’une émission dans une grille est réinterrogée chaque année. Madame Boulin-Prat et Monsieur Renard ont travaillé environ 35 à 40 jours par an, regroupés en 6 à 8 sessions. Ils n’ont donc pas collaboré dans les conditions d’un CDI à temps plein. » Voilà qui est très clair. Et de conclure sur ce sujet : « Ces modalités contractuelles ont été reconduites d’année en année d’un commun accord. Madame Boulin-Prat et Monsieur Renard n’ont auparavant jamais sollicité de CDI.« 

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Bien sûr, le groupe « regrette » cette situation et des discussions sont apparemment toujours en cours pour « accompagner la fin de leur carrière à hauteur de leur engagement durant toutes ces années« .

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