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« Oisive, et n’ayant jamais vraiment travaillé » : Comment Camilla Parker Bowles était vue par la famille royale au début

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L’intégration de Camilla Parker Bowles au sein de la famille royale n’a pas été des plus évidente. Maîtresse de Charles III pendant de nombreuses années, elle a été vue longtemps comme « oisive » et « n’ayant jamais véritablement travaillé ».

Si Kate Middleton a eu des facilités à s’intégrer au sein de la famille royale, cela n’a pas été une tâche aussi simple pour toutes et tous. Et Camilla Parker Bowles n’avait pas une position très envieuse pour démarrer du meilleur pied avec les membres de la royal family. Maîtresse de Charles III pendant de nombreuses années, le passage à compagne officielle puis épouse a pris du temps. Et elle a été longtemps vue comme « oisive » et « n’ayant jamais véritablement travaillé« . C’est ce que révèle Philip Kyle dans son livre Charles III (éd. Perrin).

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Camilla Parker Bowles, aujourd’hui reine consort, a toujours été un précieux soutien pour Charles. Il faut dire que le roi a d’abord vécu dans l’ombre de ses parents, puis, dans celle de sa première épouse, Lady Diana, « pendant près de deux décennies« . Et enfin, il a dû composer avec la très grande notoriété de ses deux fils, William et Harry, et de leurs épouses respectives Kate et Meghan. Si elle a désormais un rôle central au sein de la famille royale, cela n’a néanmoins pas toujours été le cas. « Auparavant, on la disait oisive, n’ayant jamais véritablement travaillé, écrit l’auteur. Alors quand à l’âge de cinquante-huit ans la duchesse de Cornouailles rejoignit la famille royale, on imaginait qu’elle ne se métamorphoserait pas soudainement en bourreau de travail.« 

L’anti-Diana

Et pourtant… Peu à peu Camilla a développé ses activités caritatives et y a montré un vif intérêt, choisissant de s’impliquer dans des causes aussi variées que les enfants vulnérables, les sans-abri, les personnes âgées, l’alphabétisation, les arts ou l’horticulture, rapporte l’ouvrage. Et elle devient ainsi pour beaucoup l’anti-Diana, laissant Charles III briller enfin, en étant son plus grand soutien sans particulièrement attirer l’attention sur elle. Un avis, celui de Ben Elliot le neveu de la reine consort, qu’Elizabeth II devait probablement partager à la fin, comme le rappelle l’auteur. En témoignait son attitude envers Camilla, qui avait changé au moment du jubilé de diamant. « Dans les dernières années de sa vie, la souveraine avait une excellente relation avec sa bru, les deux femmes se parlant régulièrement au téléphone« , peut-on lire.

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