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“Beaucoup de respect pour la carrière de mon père mais…” : les confessions cash de Giovanni, journaliste à la chaîne L’Équipe, sur son père Benjamin Castaldi

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À 32 ans, il n’a presque plus rien à prouver en tant que journaliste. Passé par le média Sport 365 à ses débuts, Giovanni Castaldi est désormais devenu une figure emblématique du journalisme sportif et officie depuis plusieurs années à présent à L’Équipe TV. Avec un nom pareil, accéder à un tel média n’est pas vraiment difficile diront certains. Et ça, celui qui coule des jours heureux avec sa collègue Carine Galli, en a beaucoup souffert. En effet, longtemps il lui a été reproché d’avoir été pistonné par son père Benjamin Castaldi. Pourtant, qu’il se nomme « Castaldi » ou non, force est de constater que son travail est toujours sérieux et appliqué.

D’autant plus qu’il a dû s’éloigner de sa famille pour « s’émanciper » et surtout prouver qu’il n’avait pas besoin d’un nom pour réussir comme il le confiait à nos confrères des Buzz TV du Figaro ce vendredi 13 janvier. En effet, lorsque nos confrères lui demandent si son nom n’a pas été « difficile » à porter, Giovanni répond cash : « C’est un sujet assez sensible ».

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Le fils de Benjamin Castaldi a souffert de son « nom »

Le journaliste sportif l’avoue, il a « beaucoup de respect » pour les carrières de son père et de son frère, mais il en a « souffert au début » de sa carrière. « Car des gens m’attaquaient constamment sur le piston. Je me fous d’être critiqué, mais des insultes disant que je suis pistonné, ça me gonfle ! » Heureusement, son frère a été présent pour lui, et l’est encore, dans ce moment difficile : « Il me donne parfois son avis ou des conseils, c’est un animateur incroyable. Mais pendant un temps, j’ai moins parlé à mon père et mon frère car j’avais aussi besoin de m’émanciper ».

Aujourd’hui, les critiques se sont réduites mais son nom le suivra toute sa vie. Et malheureusement, les haters seront toujours présents pour accuser de piston celui qui est tombé amoureux du football « à 8 ans à la Coupe du monde 98 », lorsqu’il a vu jouer le Brésilien Ronaldo pour la première fois.

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R.F

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